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La Fondation pour la Nature et l'Homme, Agir pour l’environnement, France nature environnement, Générations futures, Les Amis de la Terre, Réseau sortir du nucléaire, l'Action des citoyens pour le désarmement nucléaire, l'Association pour la protection des animaux sauvages, Virage énergies et la Société nationale de protection de la nature réagissent, jeudi 30 août, à la démission du ministre d'Etat.
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Implicitement, le départ du désormais ancien ministre de l'Ecologie révèle la superficialité de l'engagement écologique d'Emmanuel Macron, optant pour une écologie des mots, privilégiant les discours aux actes, espérant que la simple présence de Nicolas Hulot justifierait une politique bien loin de la rupture maintes fois annoncée.
Le recours aux pesticides de synthèse pourrait être réduit sans dommages pour les cultures, selon une étude associant l’Institut national de la recherche agronomique.
Saumons, chauves-souris et oiseaux disparaissent à un rythme effréné en France - Sciencesetavenir.fr
L'Agence française pour la biodiversité confirme le constat alarmant fait par le CNRS et le MNHN en mars 2018 : la biodiversité française va mal, notamment les oiseaux.
(8) Loi agriculture : «Les sénateurs n’ont pas compris le rôle primordial de l’abeille» - Libération
Pendant que les abeilles disparaissent, les sénateurs éliminent du projet de loi agriculture les timides mesures cherchant à réduire l'utilisation de pesticides. Gilles Lanio, président de l'Union nationale de l’apiculture française, lance un énième cri de détresse.
L'association Nationale Pomme Poire (ANPP), qui défend de nombreux arboriculteurs normands voulait interdire à Greenpeace d'utiliser le titre "pommes empoisonnées" aux pesticides dans son rapport sur la contamination des vergers français aux produits phyto-sanitaires.
L’interdiction des insecticides néonicotinoïdes par la Commission européenne, vendredi, intervient beaucoup trop tard, estime dans sa chronique Stéphane Foucart, journaliste au « Monde ».
Les Etats membres ont voté vendredi une proposition de la Commission visant à interdire les trois principaux pesticides néonicotinoïdes sur toutes les cultures en plein champ.
Un nombre inhabituellement élevé de colonies d’abeilles sont mortes l’an dernier. La cause principale de cette hécatombe: l’utilisation d’insecticides.
La France peine à réduire sa dépendance aux pesticides, faute de pouvoir convaincre les agriculteurs que des alternatives crédibles existent.
Il aura fallu près de quinze ans de déclin de l’apiculture pour que l’exécutif européen se penche sur les méthodes d’évaluation des risques, déplore dans sa chronique Stéphane Foucart, journaliste au « Monde ».
Si le nombre d’hectares certifiés en bio ou cultivés en biodynamie progresse, l’usage d’entrants reste important et génère des tensions.
L’association Générations futures doit déposer vendredi 3 novembre un recours pour faire annuler l’arrêté du 4 mai, qu’elle accuse de ne pas protéger les populations.
Dans une tribune, trois personnalités politiques, dont l’ancienne ministre de l’écologie Delphine Batho, demandent au gouvernement de s’opposer à la mise sur le marché de l’insecticide tueur d’abeilles.
C'est un chiffre effrayant : en Europe, près de 80% de la masse des insectes volants auraient disparu en trente ans. Il y a de quoi s'alarmer.
Ce déclin catastrophique est dû à l’intensification des pratiques agricoles et au recours aux pesticides. Il menace la chaîne alimentaire.
Bouleversement climatique, manque de biodiversité, maladies, parasites et surtout pesticides font exploser le taux de mortalité des abeilles. Avec pour effet collatéral une chute de la production du nectar, qui risque de devenir rare et cher.
Des traces de néonicotinoïdes, pesticides à l’origine du déclin des abeilles, sont retrouvés dans 75% des miels du monde. Une étude de l’université de Neuchâtel tire la sonnette d&
Selon une récente étude, les trois quarts des miels provenant des quatre coins du monde seraient contaminés par des néonicotinoïdes.
Alors que la Commission européenne doit se prononcer sur l’autorisation du glyphosate, médecins et collectifs anti-pesticides montent au créneau dans la région pour demander l’interdiction des produits les plus dangereux. Ils manifesteront ce dimanche à Listrac-Médoc, pour dénoncer l’inertie des pouvoirs publics et de l’interprofession viticole.
Les concentrations de produits présenteraient un faible risque pour l’homme, mais sont susceptibles de provoquer des troubles pour les insectes.