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Dans une tribune publiée par "Le Nouvel Obs", les scientifiques critiquent notamment l'impact du programme du RN sur le climat et l'environnement.
Très tôt dans son histoire, l’extrême droite européenne s’est intéressée aux questions environnementales. Au sein du Rassemblement national (RN) toutefois, on observe un net désintérêt.
En pleine mobilisation, les plateaux télé ont très souvent préféré opposer les agriculteurs aux militants écolos, voire à l'écologie elle-même, au point même de parler de divorce entre écologie et agriculture. Que vaut cette opposition ? Les agriculteurs n'ont-ils rien compris à ce qui se joue au niveau environnemental ou bien les écologistes sont-ils trop éloignés du terrain, comme le clament certains ? Surtout, comment continuer à sortir de terre nos produits agricoles en France tout en répondant aux enjeux environnementaux ?
Face à l’augmentation du déficit public, qui s’est élevé à 5,5% en 2023, le gouvernement a annoncé vouloir encore baisser les dépenses. Pour l’économiste Anne-Laure Delatte, c’est forcément une mauvaise nouvelle pour l’écologie.
L’écologie du futur sera-t-elle « sentientiste », c’est-à-dire pleinement alignée sur la cause animale ? C’est en tout cas ce que plaide le militant écologiste et antispéciste Jean-Marc Gancille dans son ouvrage Comment l’humanité se viande. Le véritable impact de l’alimentation (éd. Rue de l’Échiquier) paru le 1er mars. Entretien.
L’exécutif communautaire doit annoncer, vendredi, un retour en arrière, de manière définitive, sur une partie des acquis verts de la politique agricole commune, au nom de la simplification et de l’allègement des tâches administratives.
Militants persécutés, normes environnementales piétinées... À l’aube du cinquième mandat de Vladimir Poutine à la tête de la Russie, l’écologie est victime de la guerre en Ukraine lancée par le chef du Kremlin.
L’industriel Imerys projette d’ouvrir la première mine française de lithium à Échassières, dans l’Allier. Soutenu par l’exécutif, le projet inquiète les habitants… et interroge le modèle de transition écologique portée par la France.
Un décret précise les détails des efforts budgétaires prévus dans le cadre du plan d’austérité du gouvernement annoncé lundi. L'écologie paie un lourd tribut, ainsi que la recherche. Seule la défense est préservée.
La différence de réactions de Darmanin et du gouvernement face aux manifestations ne vous saute pas aux yeux ? Faites le quiz des « Jours ».
Parmi les griefs des agriculteurs en colère, les « contraintes environnementales » sont montrées du doigt. Et si l’écologie n’était qu’un bouc émissaire, afin de ne pas s’attaquer aux réelles causes de la détresse agricole ?
L’école AgroParisTech a annulé une journée d’étude avec des activistes antibassines et antispécistes, prévue le 25 janvier. Motif : éviter qu’elle ne leur serve de « caisse de résonance ». Elle a finalement été déplacée ailleurs.
Quelques jours de blocages routiers, sous la bénédiction des autorités, auront suffi pour décrocher le maintien de la niche fiscale sur le gazole agricole et plusieurs mesures de simplification. Rien n’a été annoncé, en revanche, sur les revenus, racine profonde du malaise. Et la FNSEA appelle à poursuivre le mouvement.
Parce qu’il n’a pas encore de réponses concrètes à apporter aux agriculteurs, le gouvernement a choisi de faire des écolos leurs boucs émissaires. Or ils sont les seuls à dénoncer de façon constante un modèle obsolète.
Promotion du ministre de l’agriculture, disparition du portefeuille de la transition énergétique, silence du nouveau premier ministre sur le climat : le remaniement annoncé jeudi enterre les urgences écologiques.
Laurent Wauquiez n’aime décidément pas l’écologie. Le conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes (Aura), qu’il préside, a décidé de supprimer sa subvention annuelle de 620 000 euros à Outdoor Sports Valley (OSV), l’association régionale des industriels de l’équipement de sport en extérieur, révèle Libération.
Gabriel Attal a été nommé Premier ministre le 9 janvier, en remplacement d’Élisabeth Borne. Pur macroniste, l’ex-ministre de l’Éducation n’est pas porté sur les questions écologiques.
Plusieurs affaires récentes ont mis en lumière la surveillance particulièrement intensive subie par les militantes écologistes. Outre l’arsenal administratif et répressif déployé par l’État pour les punir, c’est la nature des moyens utilisés qui interpelle : drones, reconnaissance faciale, marqueurs codés… Le ministère de l’Intérieur expérimente et perfectionne sur les activistes écologiques ses outils technopoliciers.
Davantage de haies, de prairies... Ces pratiques agricoles écologiques ne sont pas encouragées par le projet de loi de finances 2024, ont dénoncé le 14 novembre une centaine de paysans et d’élus.
Tout ça pour ça. On l’attendait depuis des mois, la planification écologique promise par Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle de 2022 a enfin été présentée. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle ne fait pas l’unanimité… La nouvelle formule à retenir c’est “ l’écologie à la française” : “une écologie du progrès et de la compétitivité”. L'objectif fixé est inédit : réduire les émissions de CO2 de la France de 55% de d’ici à 2030. Ce qui suppose de faire plus en 7 ans que ce qui a été fait en 33 ans. Pour l’heure, difficile de dire si les mesures annoncées seront suffisantes. Il y a du concret certes, mais rien de révolutionnaire non plus. Et surtout le logiciel de pensée du président reste le même : ne miser que sur des solutions techniques et ne pas remettre en question notre modèle économique ni véritablement nos modes de vie. L’idée d’une planification écologique est saluée par les scientifiques mais le plan est critiqué par toutes les oppositions du Rassemblement National à la Nupes, pas pour les mêmes raisons, et ce n’est pas toujours facile de s’y retrouver. Alors ce plan est-il réellement à la hauteur ? Réponses dans cette émission écologie de Paloma Moritz pour Blast