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Facebook teste une nouvelle méthode pour vérification de profil. Bientôt, un selfie de votre visage en live sera exigé pour vérifier que vous êtes bien la personne dernière votre compte. Ce faisant, le réseau social veut en finir avec les faux comptes.
Rohit Prasad, scientifique en chef responsable d'Alexa, dévoile au MIT Technology Review une esquisse de sa roadmap et le but qu'il souhaite atteindre avec son intelligence artificielle.
Reflets pensait naïvement que Libé avait "oublié" quelques trackers dans son grand ménage. En fait, c'est visiblement un peu plus compliqué que cela...
Le projet date de plusieurs années, mais il provoque maintenant un débat national aux Pays-Bas. En cause: un système de surveillance qui, selon ses opposants, mine les fondements de la liberté démocratique. Sur les plus pauvres, l’ombre de Big Brother
Six ans après avoir exposé la façon dont le gouvernement américain surveille la vie numérique des Américains ordinaires ainsi que du reste du monde, Edward Snowden a également évoqué ses inquiétudes vis-à-vis des grandes entreprises technologiques. Dans un entretien, Snowden a déclaré que c'est était considéré comme une « erreur » de considérer la NSA comme une menace plus grave pour la vie privée que les entreprises de technologie.
Le Conseil d’État a rejeté la requête déposée en urgence par la Quadrature du Net et Caliopen. Les deux associations ont attaqué la décision de la CNIL de considérer que, pour un an durant, la poursuite de la navigation vaudra consentement en matière de cookies et autres traceurs. Le dossier se poursuit toutefois au fond.
Avec cette acquisition, le géant américain espère passer un cap dans un secteur où il était encore en retard par rapport à ses concurrents
Dans le cadre dun projet de collaboration entre lInstitut national espagnol de la statistique et les opérateurs de téléphonie en Espagne, Madrid vient dautoriser à titre expérimental la mise en uvre dun programme de surveillance à grande échelle qui permettra de suivre les smartphones espagnols - ainsi que leurs propriétaires et de collecter les données de géolocalisation pendant huit jours (un dimanche, quatre jours ouvrables et trois jours de congé) au cours de ce mois. Grâce aux résult...
Dans une longue enquête, le site Kotaku révèle que Niantic accumule des montagnes de données personnelles. Après le succès sans précédent de Pokémon Go, qui séduisait encore près de 150 millions de joueurs et joueuses en 2018, Niantic s'est lancée à l'assaut d'un autre monstre de...
De nombreuses informations ont commencé à circuler sur Internet à propos des récents agissements de la multinationale américaine vis-à-vis des autorités chinoises. La semaine passée, un rapport de Reclaim the Net a révélé qu'Apple a ajouté les contrôles Tencent Safe Browsing aux contrôles Google Safe Browsing existants dans son navigateur Internet Safari dans le mois de février dernier. Ce qui permet à Safari d’envoyer l’adresse IP et d'autres données de navigation de certains utilisateurs d’iPhone ou iPad au chinois Tencent.
L’inévitable débat sur la reconnaissance faciale arrive enfin en France, et le gouvernement esquisse sa réponse. Dans un entretien paru dans Le Monde du 15 octobre, le secrétaire d’Etat au numérique Cédric O, ancien cadre du groupe Safran, a notamment estimé qu’« expérimenter » la reconnaissance faciale était « nécessaire pour que nos industriels progressent ».
Le débat sur la reconnaissance faciale arrive enfin en France et le gouvernement esquisse sa réponse. Notes et rapports officiels se succèdent pour souligner le défi que constitue l’«acceptabilité sociale» de ces technologies qui augurent un changement de paradigme dans l’histoire de la surveillance. Contre cette offensive concertée de l’Etat et des industriels, nous devons dire notre refus.
La CNIL a donc estimé que le dispositif de reconnaissance faciale installé à l’entrée de deux lycées de la région PACA était illicite au regard du RGPD. La situation provoque la fureur des élus locaux.
WhatsApp dépose plainte contre la société NSO Group pour avoir permis à 20 pays de pirater les comptes de ses utilisateurs
La Commission de l’informatique et des libertés a estimé illégaux deux projets, l’un de reconnaissance faciale destinée à des lycées et l’autre de micros dans la rue, et appelle de nouveau à un débat public.
Et de deux. Alors que la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) vient de réprimander sévèrement la région Sud, estimant que la reconnaissance faciale à l’entrée des lycées est illégale, c’est au tour de Saint-Etienne de subir les remontrances du gendarme de la vie privée. Dans un courrier recommandé adressé le 25 octobre et dont Télérama a obtenu copie, la présidente de l’autorité indépendante, Marie-Laure Denis, adresse un avertissement à la métropole stéphanoise : ses aventures sécuritaires sont “susceptibles de violer les textes relatifs à la protection des données à caractère personnel”.
« Les ensembles de données anonymes peuvent être reconstitués par les personnes utilisant l'apprentissage automatique ». C’est la conclusion d’une nouvelle étude réalisée récemment par des universitaires de l’Imperial College London et de l’UCLouvain (Université catholique de Louvain).
La mise en place d'Alicem, application permettant d'accéder aux services publics par reconnaissance faciale, relance le débat sur cette technologie. Lycées, banques, bus : celle-là est appelée à prendre une place croissante dans notre vie quotidienne.
Hier, le Conseil d’État a rejeté notre demande contre la CNIL en matière de consentement au dépôt de cookie. En sous-titre, le Conseil d’État pourrait désavouer la CNIL dans son rôle de protectrice des libertés, réservant ce rôle aux seuls juges judiciaires.
Le secrétaire d’Etat au numérique, Cédric O, souhaite susciter davantage d’expérimentations. Mais plus d’une dizaine de projets de recherche ont déjà été menés ces dix dernières années.