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" L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a rendu public, vendredi 17 janvier, un avis provisoire sur le bisphénol A (BPA) – une molécule utilisée dans de nombreux contenants alimentaires, de plastiques et de produits d'usage courant. Dans ce texte d'étape, l'agence européenne basée à Parme (Italie) dit s'être penchée sur « plus de 450 études portant sur les dangers potentiels pour la santé associés au BPA » et a identifié « des effets indésirables probables sur le foie et les reins, ainsi que des effets sur la glande mammaire, liés à l'exposition à cette substance chimique ». L'EFSA recommande ainsi de diviser par dix la dose journalière admissible (DJA), celle-ci devant passer de 50 microgrammes par jour et par kilo de poids corporel (µg/j/kg) à 5 µg/j/kg."
"Soulignant un contexte d'incertitude scientifique importante, l'Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) propose une baisse de la dose journalière admissible de bisphénol A (BPA), en vue de prévenir les risques qu’elle considère comme faibles au regard de l’exposition des consommateurs. De son niveau actuel de 50 µg (microgrammes) par kg de poids corporel par jour, les experts recommandent un seuil de 5 µg par kg par jour. Le BPA est utilisé dans les boîtes de conserve, les bonbonnes d'eau ou encore les tickets de caisse."
"Les petits avions qui crachent leurs cargaisons de produits phytosanitaires au-dessus de champs de maïs, de vignes ou de bananeraies ne sont pas prêts de disparaître des cieux français, en métropole comme outre-mer. Cette pratique particulièrement impopulaire chez les riverains des parcelles aspergées va continuer de bénéficier de dérogations généreuses à la règle qui interdit l'épandage aérien en France et dans l'Union européenne."
"En janvier 2013, la revue Food and Chemical Toxicology publiait un article de Zhu et al. [1] affirmant qu’un « maïs transgénique modifié pour résister aux herbicides à base de glyphosate est aussi sain et nutritionnel qu’un maïs conventionnel » [2]. Pour appuyer cette conclusion, l’équipe chinoise a mené une analyse de toxicologie sur des rats pendant treize semaines. Les chercheurs ont effectué différentes analyses de poids, de paramètres biochimiques et de microscopie électronique pour « détecter de potentiels impacts de ce maïs GM sur des rats »."
"Avis de gros temps dans les fjords norvégiens. La diffusion, début novembre, sur France 2, d'un reportage de l'émission « Envoyé spécial », mettant crûment en cause le saumon norvégien, a causé quelques remous du côté du cercle polaire. Même si l'attaque n'est pas nouvelle, le moment choisi, à quelques encablures de Noël, suscite le malaise chez les acteurs de ce marché."
"Un voyage de presse ? C'est ce qu'affirmait Le Monde pour expliquer le reportage bienveillant du 20 heures de France 2 à l'égard de l'industrie du saumon norvégien, égratignée un mois plus tôt par Envoyé Spécial. Dans une interview au site PureMedias, le directeur de la rédaction de France 2, Eric Monier, dément."
" Campagnes de pub, voyages de presse… la Norvège travaille à la promotion de son saumon en France, son marché de prédilection. Un poisson malmené par quelques récents scandales. "
"C'était donc un voyage de presse. Lundi 16 décembre, le 20 heures de France 2 a diffusé un reportage désamorçant toutes les mises en garde contre les risques de toxicité du saumon norvégien d'élevage. Un reportage étonnant, car en complet décalage avec un documentaire d'Envoyé Spécial diffusé sur France 2 un mois plutôt, et dans lequel on apprenait que le saumon norvégien était, au contraire, chargé de nombreux résidus de dioxines et d'un produit chimique, l'éthoxyquine, utilisé dans l'élaboration de croquettes pour saumon."
"Drôle de surprise au 20 heures de France 2 lundi 16 décembre. Les saumons d'élevage de Norvège n'ont qu'une faible concentration de produits toxiques.
Et à en croire le reportage, même en petite quantité les produits toxiques ne sont pas dangereux. Aucun risque donc. C'est une drôle de surprise : un mois avant, une enquête d'Envoyé spécial avait, au contraire, alerté sur les risques du saumon d'élevage de Norvège. Un reportage très critiqué par le "lobby du saumon" quelques semaines avant les fêtes. En l'espace d'un mois, France 2 a donc dit tout et son contraire sur la toxicité du saumon. Entre le reportage du 20 heures et celui d'Envoyé spécial, les différences de ton sont tellement caricaturales qu'on en rigolerait presque s'il ne s'agissait pas d'un sujet de santé publique..."
"Un mois avant, Envoyé Spécial dénonçait pourtant sa toxicité"
"L'Agence européenne de sécurité alimentaire (EFSA) affirme, dans un avis, mardi 17 décembre, que deux insecticides néonicotinoïdes – l'acétamipride et l'imidaclopride – pourraient être neurotoxiques pour l'humain, et prône une réduction des seuils actuels recommandés d'exposition."
"Le 13 décembre 2013, Madame la sénatrice Marie-Christine Blandin, sénatrice du Nord, informait Inf’OGM avoir saisi le 7 novembre 2013 le Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) au sujet d’une publication largement mise en avant par les partisans des OGM lors de « l’affaire » déclenchée à la suite de la publication du Pr Séralini sur le maïs NK603 et le Roundup®."
"Les OGM peuvent-ils être bons pour la santé ? Le débat est relancé alors que le groupe américain d'agrochimie Pioneer, filiale du géant DuPont, est en train de lancer, sur le marché américain et peut-être bientôt en Europe, une graine de soja génétiquement modifiée et « saine », de marque Plenish. Son rival, Monsanto, développe de son côté un produit similaire, Vistive Gold."
" Une étude révèle que l'exposition à long terme aux particules les plus fines représente une menace pour la santé même lorsque les concentrations sont bien inférieures aux limites imposées par l'Union européenne. "
"DGSEPlusieurs journalistes m'ont contacté pour que je les éclaire sur le projet de Loi de Programmation Militaire (LPM) que s'apprête à adopter Le Sénat, ce mardi 10 décembre, et qui vise notamment à légaliser l'"accès administratif" (par les services de renseignement, à distinguer des services de police judiciaire) aux données de connexion (les "traces" de nos activités stockées par les opérateurs de télécommunications et de services en ligne), définies comme suit dans son désormais fameux article 13 : "
"Elles sont dix fois plus petites que l'épaisseur d'un cheveu, mais elles peuvent entraîner des maladies graves. Si la qualité de l'air s'est globalement améliorée en France depuis dix ans, les particules fines, des composés solides en suspension émis par la combustion, n'en demeurent pas moins préoccupantes pour la santé."
"Un ancien steward de la compagnie australienne Qantas va attaquer l'Etat après avoir déclaré la maladie de Parkinson sous l'effet, selon lui, des insecticides vaporisés dans les cabines sur instruction des autorités publiques. Brett Vollus, 52 ans dont vingt-sept au service de Qantas, a dû prendre une retraite anticipée en mai dernier. Il a décidé de porter l'affaire en justice lorsque son neurochirurgien, à Sydney, lui a confié recevoir de nombreux personnels de bord en consultation."
"Une exposition prolongée aux particules fines en suspension dans l'air (PM) aurait « des effets néfastes importants sur la santé », même lorsque les concentrations ne dépassent pas la norme européenne. C'est le résultat d'une étude financée par l'Union européenne et publiée, lundi 9 décembre, par la revue médicale britannique The Lancet, qui se base sur vingt-deux enquêtes dans treize pays sur plus de 360 000 personnes suivies pendant près de quatorze ans en moyenne."
"Pro OGM, anti OGM, ceux qui sont entre deux feux... Voici les acteurs du débat relancé par la décision de Food and chemical toxicology de retirer l'article du Pr Séralini sur les rats nourris au maïs NK603 de Monsanto. "
"Quatorze mois après sa publication, l’étude dirigée par le professeur Gilles-Eric Séralini sur l’effet à long terme des OGM a été retirée de la revue scientifique Food and Chemical Toxicology.
Le professeur Séralini avait accepté de fournir ses données brutes à la revue pour une nouvelle analyse critique. Celle-ci n’a relevé aucune fraude ni malhonnêteté intellectuelle mais estime que l’étude ne « permet pas de conclure » sur l’aspect cancérigène des OGM"