417 liens privés
"Après que des révélations aient été faites en Grande-Bretagne sur la forte présence d’aluminium dans les laits pour bébés, c’est Le magazine 60 millions de consommateurs français qui a confirmé qu’il en est de même en France : nombre de marques de laits infantiles offrent des taux d’aluminium importants. Faut-il pour autant s’alarmer ?"
"Après des révélations concernant la présence d’aluminium dans du lait pour nourrissons au Royaume-Uni, 60 millions de consommateurs a souhaité savoir ce qu’il en était en France. Dans son dernier numéro paru jeudi 20 février, le magazine met en évidence une présence importante d’aluminium dans plusieurs références de laits infantiles.
Comme à son habitude, 60 millions de consommateurs a passé au banc d’essai plusieurs produits disponibles en grande surface. 47 références ont ainsi été analysées."
"Dans une étude relayée par le site The Atlantic et réalisée par deux chercheurs du Transportation Research Institute de l’université du Michigan, Michael Sivak et Brandon Schoettle, ont répertorié le nombre d’accidents de la route dans 193 pays, et ont comparé les chiffres avec les causes principales de décès dans le monde: le cancer, les maladies cardio-vasculaires et celles cérébrovasculaires. Pour réaliser cette comparaison, les chercheurs se sont appuyés sur des données de l’Organisation mondiale de la santé datant de 2008."
Et donc, on s'y attaque quand ?
" Un rapport de PAN Europe - Le Pesticides Action Network Europe dont Générations Futures est la branche française - montre les liens entre l'industrie et les experts de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) et de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Le rapport révèle une opération de lobby secrète orchestrée par l'industrie pour arrêter la politique adoptée pour protéger les personnes contre les méfaits de la consommation quotidienne des mélanges de pesticides.
La recherche de PAN Europe a été motivée par le retard sans précédent (plus de 8 ans) de l'EFSA pour commencer à mettre en oeuvre la directive européenne sur les résidus de pesticides de 2005."
"Une étude espagnole a analysé les études concernant l'impact des boissons sucrées sur le poids. Selon qu'elles étaient ou non financées par une marque."
"Le très controversé Pr Séralini persiste et signe avec une nouvelle étude montrant que les pesticides seraient plus toxiques qu'annoncés."
"Ce sont des documents secrets qui lèvent un peu plus le voile sur le recours, excessif et souvent incontrôlé, aux médicaments dans les élevages. Aux Etats-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) a ainsi maintenu l'autorisation de plusieurs dizaines d'antibiotiques dans l'alimentation du bétail américain, même après avoir découvert « les risques élevés » qu'ils représentaient pour la santé humaine."
"L'Agence européenne de sécurité des aliments a mis en consultation publique vendredi 17 janvier son projet d'avis sur l'évaluation des risques liés au bisphénol A (BPA) pour la population humaine et a sollicité les agences nationales. L'Agence nationale de sécurité des aliments et de l'alimentation (Anses) se prononcera le 13 mars."
" L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a rendu public, vendredi 17 janvier, un avis provisoire sur le bisphénol A (BPA) – une molécule utilisée dans de nombreux contenants alimentaires, de plastiques et de produits d'usage courant. Dans ce texte d'étape, l'agence européenne basée à Parme (Italie) dit s'être penchée sur « plus de 450 études portant sur les dangers potentiels pour la santé associés au BPA » et a identifié « des effets indésirables probables sur le foie et les reins, ainsi que des effets sur la glande mammaire, liés à l'exposition à cette substance chimique ». L'EFSA recommande ainsi de diviser par dix la dose journalière admissible (DJA), celle-ci devant passer de 50 microgrammes par jour et par kilo de poids corporel (µg/j/kg) à 5 µg/j/kg."
"Soulignant un contexte d'incertitude scientifique importante, l'Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) propose une baisse de la dose journalière admissible de bisphénol A (BPA), en vue de prévenir les risques qu’elle considère comme faibles au regard de l’exposition des consommateurs. De son niveau actuel de 50 µg (microgrammes) par kg de poids corporel par jour, les experts recommandent un seuil de 5 µg par kg par jour. Le BPA est utilisé dans les boîtes de conserve, les bonbonnes d'eau ou encore les tickets de caisse."
"Les petits avions qui crachent leurs cargaisons de produits phytosanitaires au-dessus de champs de maïs, de vignes ou de bananeraies ne sont pas prêts de disparaître des cieux français, en métropole comme outre-mer. Cette pratique particulièrement impopulaire chez les riverains des parcelles aspergées va continuer de bénéficier de dérogations généreuses à la règle qui interdit l'épandage aérien en France et dans l'Union européenne."
"En janvier 2013, la revue Food and Chemical Toxicology publiait un article de Zhu et al. [1] affirmant qu’un « maïs transgénique modifié pour résister aux herbicides à base de glyphosate est aussi sain et nutritionnel qu’un maïs conventionnel » [2]. Pour appuyer cette conclusion, l’équipe chinoise a mené une analyse de toxicologie sur des rats pendant treize semaines. Les chercheurs ont effectué différentes analyses de poids, de paramètres biochimiques et de microscopie électronique pour « détecter de potentiels impacts de ce maïs GM sur des rats »."
"Avis de gros temps dans les fjords norvégiens. La diffusion, début novembre, sur France 2, d'un reportage de l'émission « Envoyé spécial », mettant crûment en cause le saumon norvégien, a causé quelques remous du côté du cercle polaire. Même si l'attaque n'est pas nouvelle, le moment choisi, à quelques encablures de Noël, suscite le malaise chez les acteurs de ce marché."
"Un voyage de presse ? C'est ce qu'affirmait Le Monde pour expliquer le reportage bienveillant du 20 heures de France 2 à l'égard de l'industrie du saumon norvégien, égratignée un mois plus tôt par Envoyé Spécial. Dans une interview au site PureMedias, le directeur de la rédaction de France 2, Eric Monier, dément."
" Campagnes de pub, voyages de presse… la Norvège travaille à la promotion de son saumon en France, son marché de prédilection. Un poisson malmené par quelques récents scandales. "
"C'était donc un voyage de presse. Lundi 16 décembre, le 20 heures de France 2 a diffusé un reportage désamorçant toutes les mises en garde contre les risques de toxicité du saumon norvégien d'élevage. Un reportage étonnant, car en complet décalage avec un documentaire d'Envoyé Spécial diffusé sur France 2 un mois plutôt, et dans lequel on apprenait que le saumon norvégien était, au contraire, chargé de nombreux résidus de dioxines et d'un produit chimique, l'éthoxyquine, utilisé dans l'élaboration de croquettes pour saumon."
"Drôle de surprise au 20 heures de France 2 lundi 16 décembre. Les saumons d'élevage de Norvège n'ont qu'une faible concentration de produits toxiques.
Et à en croire le reportage, même en petite quantité les produits toxiques ne sont pas dangereux. Aucun risque donc. C'est une drôle de surprise : un mois avant, une enquête d'Envoyé spécial avait, au contraire, alerté sur les risques du saumon d'élevage de Norvège. Un reportage très critiqué par le "lobby du saumon" quelques semaines avant les fêtes. En l'espace d'un mois, France 2 a donc dit tout et son contraire sur la toxicité du saumon. Entre le reportage du 20 heures et celui d'Envoyé spécial, les différences de ton sont tellement caricaturales qu'on en rigolerait presque s'il ne s'agissait pas d'un sujet de santé publique..."
"Un mois avant, Envoyé Spécial dénonçait pourtant sa toxicité"
"L'Agence européenne de sécurité alimentaire (EFSA) affirme, dans un avis, mardi 17 décembre, que deux insecticides néonicotinoïdes – l'acétamipride et l'imidaclopride – pourraient être neurotoxiques pour l'humain, et prône une réduction des seuils actuels recommandés d'exposition."
"Le 13 décembre 2013, Madame la sénatrice Marie-Christine Blandin, sénatrice du Nord, informait Inf’OGM avoir saisi le 7 novembre 2013 le Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) au sujet d’une publication largement mise en avant par les partisans des OGM lors de « l’affaire » déclenchée à la suite de la publication du Pr Séralini sur le maïs NK603 et le Roundup®."