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"Les OGM permettent de réduire l'usage des pesticides" lit-on sur les brochures commerciales de leurs fabricants et les tweets de leurs communiquants, rengaine reprise par nombre d'influenceurs auto-déclarés rationalistes.
⬇️ Qu'en est-il réellement ? ⬇️
Info « Les Jours ». L’ancien ministre va participer à un colloque du lobby des semenciers qui cherche à revoir la définition des OGM.
Un intense et discret lobbying est mené auprès des institutions européennes pour déréglementer les « nouveaux OGM ». Deuxième volet de notre enquête, des réunions « informelles » visant à pousser cette dérégulation en contournant la décision de la Cour de justice de l’Union européenne. Le ministère de l’Agriculture français participe au lobbying et ne respecte pas la décision de justice.
L’association Corporate Europe Observatory a dévoilé ce lundi une série de documents mettant en lumière le travail de sape des groupes d’influenc, visant à assouplir les directives européennes sur les «nouveaux OGM».
Suite à l’avis du Conseil d’État, le gouvernement a neuf mois pour interdire les semences de tournesol et de colza obtenues par mutagenèse, désormais considérées comme OGM. Problème : les semenciers n’indiquent pas toujours cette mutation génétique et la traçabilité est inexistante.
Faire produire par les plantes leur propre insecticide ? Voilà l'objectif suivi depuis les années 90 pour près de 30 % des plantes transgéniques. Mais, comme certains l'avaient prévu, la Nature s'est…
Ce dossier montre les impacts environnementaux avérés des plantes transgéniques. Ce qui n'empêche pas les entreprises de continuer à promettre que leurs nouvelles innovations régleront les problèmes…
Que serait le débat sur les OGM sans les lanceurs et les lanceuses d'alerte ? Les syndicalistes et militants qui ont affronté les gaz lacrymo et les tribunaux, les scientifiques qui ont dénoncé la…
Les plantes transgéniques et les nouveaux OGM sont souvent présentés par leurs promoteurs comme l'une des solutions techniques pour nourrir le monde à l'horizon 2050. Inf'OGM a déjà publié…
Cette carte a pour vocation de donner une vue d'ensemble des lois sur l'étiquetage des OGM dans le monde. Elle n'est pas encore exhaustive et sera complétée et mise à jour au fur et à mesure des…
Pétition : Une fusion entre Bayer et Monsanto serait un vrai désastre pour les agriculteurs et la paysannerie mondiale. Ce mariage serait une (...)
La parution de l’étude controversée du biologiste français Gilles-Eric Seralini, prétendant avoir montré des effets nocifs du Roundup, a provoqué une onde de choc chez Monsanto. Qui n’a eu de cesse de faire désavouer la publication par tous les moyens.
Aujourd’hui, quinze organisations de la société civile et paysannes ont remis une pétition regroupant plus de 110 000 signatures contre les nouveaux OGM au ministre Nicolas Hulot. Cette mobilisation a eu lieu en même temps qu’une conférence concernant les nouveaux OGM qui s’est tenue à la Commission européenne. Il s’agit là d’un moment décisif puisque l’avenir de ces nouvelles techniques de génie génétique y était discuté.
En raison de l’accord de libre-échange, ce poisson transgénique canadien peut atterrir dans les assiettes européennes.
"C’est un mariage redouté par les militants écologistes qui vient d’être officialisé. Le 14 septembre, le groupe chimique et pharmaceutique allemand Bayer a annoncé la signature d’un accord de fusion définitif avec la multinationale américaine Monsanto pour 66 milliards de dollars (59 milliards d’euros) [1]. Soit l’acquisition la plus chère jamais payée par un groupe allemand. La fusion de ces deux mastodontes – d’un côté Bayer, fabricant des très décriés néonicotinoïdes, de l’autre Monsanto, spécialiste des semences génétiquement modifiées et fabricant de l’herbicide RoundUp – consolide leur main mise sur l’agriculture. Cette opération fait de Bayer le numéro un mondial des semences et des pesticides, contrôlant respectivement 30 % et 24 % de chacun de ces secteurs [2]."
"Le chimiste allemand Bayer a annoncé ce mercredi son intention d’absorber le controversé champion américain des OGM, Monsanto. Un mariage qui, s’il était validé par les autorités de la concurrence, donnerait naissance à un mastodonte des produits agricoles, au risque d’écraser un peu plus les agriculteurs. Sans compter les risques sanitaires et environnementaux…"
"Le chimiste Bayer a annoncé, mercredi 14 septembre, acheter le fabricant controversé de pesticides et semences OGM Monsanto pour 66 milliards de dollars (59 milliards d’euros), dans ce qui constitue l’acquisition la plus chère jamais payée par un groupe allemand."
"Le chimiste Bayer a annoncé mercredi 14 septembre l’acquisition du fabricant controversé de pesticides et de semences OGM au prix de 66 milliards de dollars. Cette acquisition est la plus élevée parmi celles effectuées par les groupes allemands."
"Le 3 juillet 2016, Valdimir Poutine, président de la Russie, a signé une loi qui interdit la production commerciale de plantes et d’animaux génétiquement modifiés. Les expérimentations à but scientifique restent autorisées à condition qu’elles soient validées par les autorités. La loi prévoit des amendes comprises entre 138 et 7000 euros. Cela faisait plusieurs années que la Russie hésitait à interdire les plantes génétiquement modifiées (PGM). Contrairement à certaines rumeurs, la Russie n’a pas interdit l’importation d’OGM. Actuellement 23 PGM sont autorisées : betterave, maïs, pomme de terre, riz et soja."
"L’Institut national de recherche agronomique (Inra) met au point plusieurs variétés de vignes résistantes au mildiou et à l’oïdium. Objectif : diminuer, de façon durable, les traitements phytosanitaires... le tout, sans recours aux OGM (ni transgéniques, ni nouveaux). Seul « processus auxiliaire technologique » utilisé : la sélection assistée par marqueurs (SAM). Débutée dans les années 2000, cette recherche va conduire à l’inscription au catalogue, en 2017, de quatre variétés résistantes. Solution partielle en attendant une approche plus durable et intégrée ?"