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Prix des semences, brevets et droits de licence, présomption de contrefaçon : le projet de réglementation sur les nouveaux OGM menace les petits semenciers et les paysans, au bénéfice des multinationales agrochimiques.
La législation européenne encadrant les « nouveaux OGM » pourrait être assouplie, au grand bonheur de l’agro-industrie. Voici cinq points pour tout comprendre à ces techniques de modification du vivant.
Une branche du CNRS a poussé ses chercheurs à se positionner publiquement en faveur des nouveaux OGM. Le retour de cette vieille technique de propagande industrielle a choqué de nombreux scientifiques, notamment écologues.
Le vote des eurodéputés sur la législation encadrant les nouvelles techniques génomiques, le 7 février, a donné lieu à une opération de communication impliquant des instances de l’organisation scientifique. Au grand dam de nombre de ses chercheurs.
Une poignée de grandes entreprises semencières disposent d’un nombre croissant de brevets sur les nouvelles techniques de modification génétique. Ces « nouveaux OGM » constituent une nouvelle menace sur la liberté de cultiver.
Des OGM vont-ils se retrouver dans nos assiettes sans que nous en soyons informés ? C’est ce que laisse redouter un projet de réglementation porté par la Commission européenne. Premier volet de notre enquête.
La Commission européenne a dévoilé aujourd’hui sa proposition de réglementation pour les nouveaux OGM (NBT) qui, si elle était adoptée par le Parlement et le Conseil européens, les vannes seraient grandes ouvertes aux OGM dans toute l’Europe.
Grégoire Souchay, journaliste pigiste à Reporterre, a été relaxé. Il était accusé d’avoir participé à une action illégale des Faucheurs volontaires d’OGM alors qu’il ne faisait que son travail d’information.
"Les OGM permettent de réduire l'usage des pesticides" lit-on sur les brochures commerciales de leurs fabricants et les tweets de leurs communiquants, rengaine reprise par nombre d'influenceurs auto-déclarés rationalistes.
⬇️ Qu'en est-il réellement ? ⬇️
Info « Les Jours ». L’ancien ministre va participer à un colloque du lobby des semenciers qui cherche à revoir la définition des OGM.
Un intense et discret lobbying est mené auprès des institutions européennes pour déréglementer les « nouveaux OGM ». Deuxième volet de notre enquête, des réunions « informelles » visant à pousser cette dérégulation en contournant la décision de la Cour de justice de l’Union européenne. Le ministère de l’Agriculture français participe au lobbying et ne respecte pas la décision de justice.
L’association Corporate Europe Observatory a dévoilé ce lundi une série de documents mettant en lumière le travail de sape des groupes d’influenc, visant à assouplir les directives européennes sur les «nouveaux OGM».
Suite à l’avis du Conseil d’État, le gouvernement a neuf mois pour interdire les semences de tournesol et de colza obtenues par mutagenèse, désormais considérées comme OGM. Problème : les semenciers n’indiquent pas toujours cette mutation génétique et la traçabilité est inexistante.
Faire produire par les plantes leur propre insecticide ? Voilà l'objectif suivi depuis les années 90 pour près de 30 % des plantes transgéniques. Mais, comme certains l'avaient prévu, la Nature s'est…
Ce dossier montre les impacts environnementaux avérés des plantes transgéniques. Ce qui n'empêche pas les entreprises de continuer à promettre que leurs nouvelles innovations régleront les problèmes…
Que serait le débat sur les OGM sans les lanceurs et les lanceuses d'alerte ? Les syndicalistes et militants qui ont affronté les gaz lacrymo et les tribunaux, les scientifiques qui ont dénoncé la…
Les plantes transgéniques et les nouveaux OGM sont souvent présentés par leurs promoteurs comme l'une des solutions techniques pour nourrir le monde à l'horizon 2050. Inf'OGM a déjà publié…
Cette carte a pour vocation de donner une vue d'ensemble des lois sur l'étiquetage des OGM dans le monde. Elle n'est pas encore exhaustive et sera complétée et mise à jour au fur et à mesure des…
Pétition : Une fusion entre Bayer et Monsanto serait un vrai désastre pour les agriculteurs et la paysannerie mondiale. Ce mariage serait une (...)
La parution de l’étude controversée du biologiste français Gilles-Eric Seralini, prétendant avoir montré des effets nocifs du Roundup, a provoqué une onde de choc chez Monsanto. Qui n’a eu de cesse de faire désavouer la publication par tous les moyens.