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Apple est bien pire que Google et Microsoft en matière de pratiques anticoncurrentielles - FrAndroid
S'il ne fallait retenir qu'une chose de l'actualité Tech de cette semaine, ce serait sans aucun doute la condamnation de Google par la Commission
Qui dit forte chaleur dit salades, aliments légers, rafraîchissants… mais prudence. Les ingrédients qui composent nos salades maison ne sont pas nécessairement plus sains ni plus honnêtes sur l’étiquette. foodwatch a repéré 10 produits susceptibles de composer une sacrée salade d’arnaques et propose d’agir via une pétition pour l’un d’entre eux : le « Coraya Suprêmes Homard » qui ne comporte pas la moindre trace du homard vanté sur l’étiquette.
L'association Nationale Pomme Poire (ANPP), qui défend de nombreux arboriculteurs normands voulait interdire à Greenpeace d'utiliser le titre "pommes empoisonnées" aux pesticides dans son rapport sur la contamination des vergers français aux produits phyto-sanitaires.
Dans un rapport sévère, la Cour estime que le déploiement des compteurs communicants ne profite guère aux consommateurs.
Lors de réservations en ligne, pour un voyage par exemple, le simple fait d’anonymiser son ordinateur afin de contrer le ciblage des cookies peut donner des résultats très concrets et permettre des centaines d’euros d’économie. Démonstration.
Cette carte a pour vocation de donner une vue d'ensemble des lois sur l'étiquetage des OGM dans le monde. Elle n'est pas encore exhaustive et sera complétée et mise à jour au fur et à mesure des…
Ces deux femmes sont à l’origine de la publication des « Monsanto papers », ces milliers de courriels, notes, rapports, qui montrent les manipulations de la firme chimique pour cacher la dangerosité du glyphosate. Reporterre les a rencontrées.
Carey Gillam et Kathryn Forgie sont à la source des « Monsanto Papers », les documents que la firme productrice du Roundup et des principaux OGM a dû publier en mars dernier : des textes qui révèlent les manœuvres de l’entreprise basée à Saint-Louis, aux (...)
La nouvelle norme ISO 16128, censée définir les ingrédients des cosmétiques bio ou naturels, ne ferait qu'embrouiller davantage les consommateurs.
Windows 10 S veut conquérir le monde de l'éducation, se servant du Surface Laptop comme d'un écrin de luxe. Après plusieurs jours en leur compagnie, il apparaît clairement que la machine est bien meilleure que cet OS trop bridé.
"Quand les lobbys agroalimentaires et de la grande distribution font pression sur la ministre de la Santé... avec l'aide du ministère de l'Agriculture. Dans un article paru le 16 septembre, Mediapart révèle que l'Association Nationale des Industries Alimentaires (ANIA) et la Fédération du Commerce et de la Distribution (FCD) ont envoyé fin juin une lettre au ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll (la ministre de la Santé Marisol Touraine étant simplement en copie). Cette lettre réclame la fin des études scientifiques sur les nouveaux systèmes d'étiquetage simplifiés (qu'@si vous présentait ici). Une "censure d'un travail scientifique", dénonce Mediapart, au moment où quatre systèmes d'étiquetage vont être testés dans des supermachés à partir du 26 septembre."
"Depuis le scandale des lasagnes à la viande de cheval en 2013, les consommateurs réclament plus de transparence sur les étiquettes des plats cuisinés."
"La France expérimentera à partir du 1er janvier 2017 l’étiquetage de l’origine des viandes et du lait dans les produits transformés, une mesure réclamée par les associations de consommateurs et plus récemment par les éleveurs, selon un décret paru dimanche 21 août au Journal officiel."
"Grenoble est le centre français des nanotechnologies. Elles s’y développent par une alliance sans faille entre l’Etat, les entreprises et le Commissariat à l’énergie atomique. Qui ont réussi à avancer sans que les citoyens prennent conscience de ce que représente cette voie technologique."
"En Allemagne, le label « Ohne Gentechik », l’équivalent de la mention française « sans OGM » a le vent en poupe. Il est bien connu des consommateurs et de plus en plus d’entreprises du secteur agroalimentaire l’adoptent. Le contenu de ce label est une des raisons de son succès, ce qui met en lumière les raisons pour lesquelles l’étiquetage français équivalent peine à s’imposer."
"Le 14 juin 2016, les États-Unis ont adopté une loi qui impose un étiquetage des OGM dans l’alimentation humaine. Une victoire pour la transparence ? On en est loin. Les industriels pourront se contenter de QR Code pour que les consommateurs obtiennent l’information recherchée, au grand dam de la société civile."
"Le 14 juin 2016, une nouvelle proposition de loi a été déposée au Parlement afin de rendre obligatoire un étiquetage des OGM et des produits en contenant [1]. Si cette proposition était adoptée, le Canada serait le premier pays d’Amérique du Nord à disposer d’un tel étiquetage. Mais pourrait-il voir le jour dans ce pays qui est le cinquième producteur de plantes génétiquement modifiées (PGM) au monde et également le premier à avoir autorisé la mise sur le marché d’un animal génétiquement modifié, le saumon d’AquAdvantage ?"
"Open Beauty Facts est un projet collaboratif en ligne dont le but est de constituer une base de données libre et ouverte sur les produits cosmétiques du monde entier.
Après les aliments, Open Food Facts s’attelle donc à un nouveau chantier : les produits de beauté. Lancé en février 2016, Open Beauty Facts a pour but de réaliser pour les cosmétiques, dentifrices et autres shampooings ce que Open Food Facts a fait pour la nourriture. "
"À compter d’aujourd’hui, le délai de présomption relatif à la garantie légale de conformité n’est plus de six mois, mais de deux ans. Cette mesure issue de la loi Consommation de 2014 devrait permettre d’obtenir plus facilement le remplacement de biens défectueux, mais aussi de pousser les fabricants à allonger la durée de vie de leurs produits."
"Aux États-Unis, le débat fait rage autour de l’étiquetage des OGM dans l’alimentation. Les entreprises, actrices incontournables dans ce débat, développent différentes stratégies pour échapper à l’étiquetage ou au contraire, se servir d’un nouvel argument de vente autour du « sans OGM »."
"Deux abonnées à Orange viennent de se plaindre auprès de nous des services de paiement "Contact+" et "Internet+" liés à leur box. Contact+ permet de surfer sur des sites payants (d'itinéraires ou d'horaires de trains par exemple) et Internet+ de souscrire des abonnements, sans avoir à sortir sa carte bancaire, le paiement étant reporté sur la f acture de la box. Le hic, c'est qu'ils sont activés par défaut, et sans que les utilisateurs le sachent."