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Emmanuel Macron a appelé les Européens à ne pas être suivistes sur la question de Taïwan, dimanche 9 avril. Des déclarations critiquées par la presse internationale.
Le chef de l'Etat renvoie l'image d'un homme seul, insensible à la colère des Français, majoritairement opposés à la réforme des retraites. Au point d'inquiéter sa propre majorité.
Sans jamais avoir tiré les leçons des crises du précédent quinquennat et de l’accession de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle, pour la deuxième fois consécutive, Emmanuel Macron et ses soutiens continuent de niveler le débat public par le bas.
Depuis l’annonce du 49-3, de nombreuses vidéos et témoignages pointent des violences policières lors de manifestations. De quoi s’inquiéter du maintien de l’ordre français. StreetPress fait le point avec le chercheur Sébastian Roché.
Le centième 49.3 de la Ve République – le 11e du gouvernement Borne –, est déclenché pour un passage en force de la réforme des retraites. Un triste aveu d’échec de la part d’un président et de son gouvernement. Un naufrage politique et démocratique.
Alors qu’en 2017, Emmanuel Macron se présentait comme le champion de « l’évaluation des réformes », il fait fi des évaluations scientifiques négatives sur sa politique économique. Désormais, sa seule boussole est sa politique en faveur du capital.
Le chef de l’État a justifié la poursuite de sa politique par un bilan économique positif. Un signe de plus de sa déconnexion complète, car ses prétendus « succès » ne sauraient duper une population qui traverse une crise de niveau de vie majeure.
Au nom du secret des affaires, l’Élysée avait refusé de transmettre à Mediapart les échanges entre les lobbyistes d’Amazon, Google et autres géants du numérique avec la présidence de la République. Le tribunal administratif nous a cependant donné raison et nous venons d’avoir accès à ces échanges, qui montrent la construction permanente d’un discours commun. Tout comme chez Uber, un lobbyiste d’Amazon a même œuvré pour la campagne d’Emmanuel Macron en 2017.
Les 13 et 20 novembre, Emmanuel Macron s’est mis en scène en train de répondre à des questions des internautes sur l’écologie. L'occasion de vanter son bilan et la politique du gouvernement, vivement critiquée par une grande partie de la société civile depuis des années. Le tout en parlant à un public plus jeune et avec quelques messages clés faciles à repérer : l’action, le concret…. Au-delà du côté un peu inattendu du format, de l’opération communication qui va avec, du ton cash, du montage ultra cut, bref de la forme, il y a évidemment le fond.
Les 13 et 20 novembre, Emmanuel Macron s’est mis en scène en train de répondre à des questions des internautes sur l’écologie. L'occasion de vanter son bilan et la politique du gouvernement, vivement critiquée par une grande partie de la société civile depuis des années. Le tout en parlant à un public plus jeune et avec quelques messages clés faciles à repérer : l’action, le concret…. Au-delà du côté un peu inattendu du format, de l’opération communication qui va avec, du ton cash, du montage ultra cut, bref de la forme, il y a évidemment le fond.
Le président de la République s'est livré, dimanche 13 novembre, à un exercice de communication rare, en répondant à des questions sur l'écologie directement posées par des internautes sur les réseaux sociaux. Franceinfo a relevé trois affirmations inexactes.
Le maintien en poste du garde des sceaux, Eric Dupond-Moretti, malgré son renvoi devant le Cour de justice de la République pour des soupçons de conflit d’intérêts, est un signal inquiétant, qui ne peut que renforcer la défiance des Français envers leurs institutions politiques et judiciaires.
Passant outre la séparation des pouvoirs, Emmanuel Macron a écrit au PNF à l’été 2019 pour disculper Alexis Kohler, au lendemain d’un rapport de police l’accablant. À la suite de cette lettre, un second rapport d’enquête a été écrit, aboutissant à des conclusions inverses. Un mois plus tard, l’enquête sera classée sans suite.
L’exécutif avance ses pions sur la nouvelle réforme de l’assurance-chômage, censée répondre « à l’urgence » de la pénurie de main-d’œuvre en s’attaquant, à nouveau, aux allocations. Le dialogue social semble mal engagé et une réforme, annoncée par Emmanuel Macron et attendue par le Medef, pourrait s’imposer.
Face aux pénuries de main-d’œuvre qui exaspèrent patrons et gouvernement, Pôle emploi prépare un plan de rentrée baptisé « Tensions 2022 ». L’objectif est de repérer tous les profils « employables » pour satisfaire, au plus vite, les besoins en recrutement.
Avec la monétisation des RTT, la réforme de l’assurance-chômage et celle des retraites, le début du deuxième quinquennat d’Emmanuel Macron s’appuie sur le discours du « travailler plus ». Cette injonction est une figure classique du conservatisme social qui s’oppose au progressisme, même le plus modéré.
Les comptes de la Fédération nationale des chasseurs viennent d’être dévoilés ! Alors que l’association agréée d’utilité publique était tenue de publier chaque année ses comptes au Journal officiel, la structure des Nemrods se gardait bien d’accomplir cette formalité. Sollicité deux fois par « Lanceur d’alerte » pour obtenir la communication de ces comptes, Willy Schraen, premier chasseur de France, a fini par rendre publics ceux des exercices 2017 à 2021, avec un léger coup de retard – le 8 Août 2022…
Si, le soir du second tour, le président de la République a promis de faire de la France « une grande nation écologique », les mesures à contresens de l’urgence climatique n’ont cessé depuis de s’enchaîner. Passage en revue de cette casse anti-écologique à la veille de l’investiture du chef de l’État.
La CADA vient de nous accorder son feu vert à la communication d’un des rapports McKinsey. Pour la Commission d’accès aux documents administratifs, cette pièce est communicable, sous réserve, s'agissant des documents annexes, d’occulter certains éléments couverts par le secret des affaires.
Bien que le pouvoir d'achat se soit imposé comme l'un des thèmes centraux de la campagne électorale, le président sortant n'a pas souhaité ajouter de mesures sociales à son programme après le premier tour, préférant vanter l'objectif du retour au plein emploi.