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Alors que la COP23 bat son plein, mais que les mauvaises nouvelles pour le climat de la planète continuent d’arriver jour après jour, on est en droit de se demander : les négociations internationales servent-elles à quelque chose ?
L’ampleur de l’initiative est sans précédent. Plus de 15 000 scientifiques de 184 pays signent un appel contre la dégradation catastrophique de l’environnement.
La tendance, après trois années de stagnation, est principalement due à la croissance économique de la Chine, premier pollueur mondial.
La Maison Blanche n’a pas émis d’objection à la publication d’un document d’envergure établi par la communauté scientifique. A la veille de la COP23, rien ne dit pour autant qu’il s’agit d’un revirement
Saviez-vous que l'on estime que trois entreprises – JBS, Cargill et Tyson – ont émis l'an dernier, plus de gaz à effet de serre que toute la France et (...)
Les carottages dans les glaces et glaciers permettent aujourd’hui de connaître l’évolution des rejets de ce gaz sur de très longues périodes.
Pendant l'année en cours, la température moyenne de la planète a gagné 1,1°C par rapport au début de l'ère industrielle.
La raffinerie de Total, dans les Bouches-du-Rhône, se prépare à produire du « biocarburant ». Problème : elle fonctionnera à base d’huile de palme, qui est une cause majeure de déforestation et d’émissions de gaz à effet de serre dans les pays tropicaux.
Une étude exhaustive menée par 13 agences fédérales américaines vient de conclure que le réchauffement climatique est plus fort que jamais et qu’il est à 90 % causé par l’influence de l’homme. Une conclusion en complète contradiction avec la position officielle de l’administration Trump, comme un nouveau camouflet au climatoscepticisme du président américain.
Les signataires de l’accord de Paris sur le climat se retrouvent lundi à Bonn avec l’objectif de concrétiser ce traité, alors que les Etats-Unis ont décidé de s’en retirer.
Les autorités canadiennes ont réservé un « bon accueil » au plan français, a dit le secrétaire d’Etat aux affaires étrangères, Jean-Baptiste Lemoyne, après trois jours à Montréal, Ottawa et Toronto.
Le premier ministre Édouard Philippe devrait annoncer mercredi 25 octobre un « plan d’accompagnement » du traité de libre-échange entre l’UE et le Canada. Alors que des députés LREM eux-mêmes demandent de gros aménagements, le texte ne devrait pas bouger.
La France veut apporter « des réponses concrètes et opérationnelles » aux enjeux environnementaux et sanitaires que pose l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada.
Emmanuel Macron veut faire passer l’accord CETA de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada sans que cela ne se voit trop. Le plan d’accompagnement présenté ce mercredi 25 octobre par le Premier ministre Edouard Philippe est un jeu de dupes. Il ne sert qu’à habiller l’application de ce traité depuis le 21 septembre et à repousser l’expression du peuple français ou de ses représentants à son sujet.
Le Parlement français devra bientôt ratifier le Ceta : à lui de dire non pour permettre d'inclure enfin les objectifs climatiques, sociaux, environnementaux des Européens dans ce traité avec le Canada.
De quoi est constituée l'empreinte carbone des Français aujourd'hui ? Le Commissariat général au développement durable a mené l'enquête.
Alors le traité de libre-échange controversé entre l’Union européenne et le Canada, est entré en vigueur provisoirement le 21 septembre, le gouvernement a présenté, mercredi, les conditions de sa mise en place dans le pays.
Le pays pourrait ne pas atteindre la réduction de 40 % de ses gaz à effets de serre d’ici à 2020. En cause : le fonctionnement à plein régime des centrales à charbon et la pollution liée au transport.
« Chantier colossal », « troisième révolution urbaine », « porte d'entrée de l'Europe continentale »… Autour du Grand Paris, immense projet de (...)
Le projet de loi, dont les députés ont achevé mercredi 4 octobre l’examen, prévoit des exceptions à l’arrêt en 2040 de la production française de pétrole et de gaz. Une « sécurisation » pour le ministre, une « renonciation » pour les ONG.