425 liens privés
Les projections du secteur de l’aviation donnent le tournis : d’ici à une vingtaine d’années, le nombre de voyages en avion doublerait. Les projets d’infrastructures aéroportuaires se multiplient faisant fi des conséquences climatiques. Les collectifs d’opposants se structurent et regardent Notre-Dame-des-Landes comme un modèle.
La question revient fréquemment dans les débats sur le changement climatique : l’augmentation de la population constituerait l’une des principales menaces pour l’équilibre planétaire. Les pays pauvres, et particulièrement l’Afrique avec sa forte croissance démographique, sont implicitement visés. Pourtant, un Africain pollue vingt fois moins qu’un Nord-américain. Si la question démographique se pose à long terme, elle risque d’être utilisée pour évincer les vraies priorités et responsabilités : une meilleure gestion et répartition des ressources et une remise en cause du modèle consumériste.
Quand bien même la croissance reviendrait dans les pays développés, elle empêcherait d’atteindre les objectifs climatiques. D’autres chemins vers le progrès humain méritent d’être explorés.
Alors que la se Californie brûle sous l'effet d'une grande sécheresse et que le président américain cherche par tous les moyens à détricoter les avancées pro-environnement de l'administration Obama, des études récentes montrent que l'élection de Trump n'a pas altéré l'attrait des énergies renouvelables pour les entreprises américaines. Bien au contraire !
Putois, lapin de garenne, pipistrelle, phoque veau-marin... la nouvelle liste rouge des espèces menacées de disparition montre une forte dégradation en huit ans.
Selon un nouveau rapport établi par un consortium international de scientifiques, les émissions de gaz carbonique devraient atteindre un niveau record en 2017, compromettant les chances d'atteindre l'objectif de maintenir le réchauffement global en dessous de la limite de 2 °C.
Le ministre de la transition écologique et solidaire demande à EDF un « plan précis » pour développer le solaire et l’éolien en France.
La justice allemande a accepté lundi de se pencher en détails sur la plainte d'un fermier péruvien qui demande au géant allemand de l'énergie RWE de réparer les dégâts causés par le changement climatique dans les Andes.
Le cri d’alerte des 15.000 scientifiques internationaux a été publié dans la revue BioScience le 13 novembre. Son objectif : sensibiliser l’opinion publique et les gouvernements du monde entier sur l’avancée dramatique de la destruction de la nature par l’Homme.
Alors que la COP23 bat son plein, mais que les mauvaises nouvelles pour le climat de la planète continuent d’arriver jour après jour, on est en droit de se demander : les négociations internationales servent-elles à quelque chose ?
L’ampleur de l’initiative est sans précédent. Plus de 15 000 scientifiques de 184 pays signent un appel contre la dégradation catastrophique de l’environnement.
La tendance, après trois années de stagnation, est principalement due à la croissance économique de la Chine, premier pollueur mondial.
La Maison Blanche n’a pas émis d’objection à la publication d’un document d’envergure établi par la communauté scientifique. A la veille de la COP23, rien ne dit pour autant qu’il s’agit d’un revirement
Saviez-vous que l'on estime que trois entreprises – JBS, Cargill et Tyson – ont émis l'an dernier, plus de gaz à effet de serre que toute la France et (...)
Les carottages dans les glaces et glaciers permettent aujourd’hui de connaître l’évolution des rejets de ce gaz sur de très longues périodes.
Pendant l'année en cours, la température moyenne de la planète a gagné 1,1°C par rapport au début de l'ère industrielle.
La raffinerie de Total, dans les Bouches-du-Rhône, se prépare à produire du « biocarburant ». Problème : elle fonctionnera à base d’huile de palme, qui est une cause majeure de déforestation et d’émissions de gaz à effet de serre dans les pays tropicaux.
Une étude exhaustive menée par 13 agences fédérales américaines vient de conclure que le réchauffement climatique est plus fort que jamais et qu’il est à 90 % causé par l’influence de l’homme. Une conclusion en complète contradiction avec la position officielle de l’administration Trump, comme un nouveau camouflet au climatoscepticisme du président américain.
Les signataires de l’accord de Paris sur le climat se retrouvent lundi à Bonn avec l’objectif de concrétiser ce traité, alors que les Etats-Unis ont décidé de s’en retirer.
Les autorités canadiennes ont réservé un « bon accueil » au plan français, a dit le secrétaire d’Etat aux affaires étrangères, Jean-Baptiste Lemoyne, après trois jours à Montréal, Ottawa et Toronto.