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Le collectif l’Affaire du siècle a remis au Conseil d’État une nouvelle étude qui entend démontrer que la France ne respectera pas son objectif de réduction de 40 % de ses émissions carbone en 2030. Saisi en novembre 2020 par la ville de Grande-Synthe soutenue par les ONG, la haute juridiction devrait se prononcer cet été.
Alors qu’il risque une condamnation judiciaire pour laxisme climatique, l’Etat français proroge une politique qui a montré ses limites.
Le HCC regrette des mesures qui pèchent par leur “portée réduite” et espère que le Parlement pourra rectifier le tir.
Dans un avis publié mardi 23 février, le Haut Conseil pour le climat a mis en évidence les carences de la loi "climat et résilience", qui sera étudiée par les députés à partir du 8 mars.
La loi Climat et Résilience va dans le bon sens, mais elle manque clairement d’ambition, selon le Haut Conseil pour le Climat. L’organisme estime que la France doit accélérer le rythme de la transition écologique.
Moi aussi je pensais qu'il suffirait de mettre les gens sur des vélos, de mettre un pull, ... mais à la #ConventionCitoyenne j'ai rapidement appris que si on transformait 67 millions de français en super-héros de l'#écologie seulement 1/4 de nos rejets 🇫🇷 de GES serait réglée.
Ce projet n’est plus en adéquation avec les enjeux environnementaux, ni avec un trafic aérien ébranlé par la crise sanitaire, explique au « Monde » Barbara Pompili.
"C’est un projet obsolète", a déclaré la ministre de la Transition écologique au "Monde", jeudi.
Le mouvement libertarien prône une certaine vision de la liberté, essentiellement pour les riches et les grandes entreprises. Venu et financé des États-Unis, il tente désormais d’influencer le débat public hexagonal.
Le texte de 65 articles, issu des propositions de la Convention citoyenne, devrait être examiné par les députés à partir de la fin du mois de mars. Il est d'ores et déjà critiqué, pour son manque d'ambition, par les associations écologistes.
L’offensive des industriels contre les propositions de la Convention climat s’est accompagnée d’une véritable guerre des mots pour décrédibiliser les « citoyens » à coups de tribunes, de comparaisons parfois indignes, et de faux experts sur les plateaux télévisés.
Dans un nouveau rapport, l’Observatoire des multinationales lève le voile sur la grande offensive de lobbying menée par les industriels pour protéger leurs intérêts face aux préconisations des « citoyens ».
Températures maximales dépassant les 50°C, sécheresses, épisodes de pluie intenses plus fréquentes... Météo France a publié le 1er février de nouvelles projections climatiques pour 2100, selon trois scénarios, du plus optimiste (+2,2°C ) au moins vertueux (+3.9°C). Le rapport a permis de souligner les disparités régionales, particulièrement importantes.
Les émissions de gaz à effet de serre ont baissé de 1,7% en France en 2019. Le Président, la ministre de la Transition Écologique s'en sont réjouis le week-end dernier, expliquant avoir fait mieux que l'ambition fixée. Mais l'objectif n'est pas aussi ambitieux qu'il n'y paraît.
Grâce à l’Affaire du Siècle, la justice vient de reconnaître que l’État a commis une « faute » en ne respectant pas ses objectifs climatiques. Aujourd'hui plus de 100 organisations de tout horizon interpellent au sein d’une lettre ouverte le chef de l’Etat et les parlementaires pour revoir à la hausse l'ambition du projet de loi climat.
Les propositions de la Convention Citoyenne pour le Climat qui seront présentées en conseil des ministres n’ont que peu à voir avec les intentions de leurs auteurs. Les lobbys pro-industriels, en une offensive tardive mais intense, se sont chargés de les nettoyer, avec l’appui d’un État connivent.
Selon Matthieu Orphelin, ex-LREM, Emmanuel Macron et Barbara Pompili ne sont pas honnêtes dans leur communication sur la réduction des gaz à effet de serre.
Mises en vente en novembre, les consoles de jeux vidéo PlayStation 5 et Xbox Series X suivent le schéma bien rodé du coup commercial. Mais, à l’heure du désastre écologique, cette course effrénée suscite de multiples interrogations, notamment chez des spécialistes du secteur, d’autant plus que le gain technologique est quasi inexistant.
Pouvons-nous compter sur les start-ups et la ‘French Tech’ dans la lutte contre le changement climatique ? J’aimerais pouvoir répondre que oui. Sauf que…
Alors que les sécheresses s’intensifient d’année en année, les conflits entre agriculteurs, consommateurs d’eau potable et industriels virent au bras de fer. Dans ce contexte, les pratiques douteuses et méconnues des géants de l’eau en bouteille méritent des investigations d’ampleur.