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"Les OGM peuvent-ils être bons pour la santé ? Le débat est relancé alors que le groupe américain d'agrochimie Pioneer, filiale du géant DuPont, est en train de lancer, sur le marché américain et peut-être bientôt en Europe, une graine de soja génétiquement modifiée et « saine », de marque Plenish. Son rival, Monsanto, développe de son côté un produit similaire, Vistive Gold."
"«Les animaux OGM nourriront-ils la planète?», se demandait Terra Eco en juin 2012. Le journal se penchait sur les modifications génétiques d'animaux et sur le cas particulier d'«un saumon qui grossit deux fois plus vite» (qui grandit toute l'année et pas seulement au printemps), suite à un remaniement de son patrimoine génétique. Il est commercialisable plus rapidement, et permet donc de produire à moindre coût."
"Un nouveau mode de résistance aux organismes génétiquement modifiés (OGM) a été mis en évidence par une étude franco-sud-africaine, publiée mercredi 4 septembre par la revue PLOS One (Public Library of Science Open Access Journal). Cette découverte pourrait conduire à réviser les stratégies actuellement appliquées par les agriculteurs pour lutter contre l'émergence de résistances."
"Le colza Ms8*Rf3 a été autorisé commercialement pour l’alimentation humaine le 25 juin 2013 par décision de la Commission européenne [1]. Cette autorisation vient s’ajouter à celle donnée le 26 mars 2007, qui concernait l’alimentation animale. Modifié pour tolérer les herbicides à base de glufosinate d’ammonium, ce colza a été mis au point par Bayer CropScience.
La Commission européenne a délivré l’autorisation en s’appuyant sur l’avis des experts européens qui, en septembre 2012, avaient considéré que ce colza ne présentait pas plus de risque qu’un colza non transgénique.
De leur côté, les États membres n’avaient pas atteint de majorité qualifiée par deux fois, en avril puis en mai 2013, pour ou contre cette autorisation. La Commission européenne a donc hérité de la responsabilité de la décision finale. Il faut noter que les règles de comitologie actuelles n’imposent plus à la Commission d’autoriser une PGM du seul fait qu’elle avait soumis aux États membres une proposition d’autorisation. Mais cette absence d’obligation n’a finalement pas modifié la tendance des décisions de la Commission européenne puisqu’elle continue d’autoriser les PGM lorsque la décision lui revient."
"Colza, tournesol, maïs tolérant les herbicides : ces plantes génétiquement modifiées - non transgéniques ! - arrivent dans les champs et les assiettes sans que leurs impacts environnementaux et sanitaires n’aient été étudiés. Obtenues par mutagenèse aléatoire, ces plantes échappent, pour l’instant, à la législation sur les OGM. Donc, pas d’évaluation des risques, pas d’étiquetage ! Selon une expertise collective Inra – CNRS de 2011, « peu de recherches ont été conduites » sur l’impact de ces variétés sur les abeilles."
"Le projet scientifique est tout aussi original que ses moyens de financement. L'idée : fabriquer, grâce à la biologie synthétique, des plantes phosphorescentes, qui pourraient permettre à terme de s'éclairer sans électricité. Le moyen : faire appel au crowdfunding, soit aux dons du public, via le site Kickstarter.
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Au-delà de cette dimension de "bricolage", c'est le principe de la dissémination de ces organismes qui en inquiète certains – comme l'ETC Group. L'association a lancé une pétition et un contre-projet, "KickStopper"."
"Le feuilleton scientifique et juridique du saumon transgénique (GM) « AquAdvantage » n’en finit pas. Une nouvelle étude confirme que ce saumon génétiquement modifié, s’il venait à quitter ses bassins d’élevage, pourrait devenir un danger pour les populations de saumons sauvages."
TUBE À ESSAI – Un chercheur crée un hamburger à la viande artificielle à 250 000 euros | Big Browser
"Un hamburger à 250 000 euros, c'est la promesse, en théorie, d'un repas inoubliable. Inoubliable, celui-ci risque vraiment de l'être puisqu'il sera constitué de viande artificielle créée in vitro à partir de cellules souches bovines. Cette innovation est le fruit des recherches du Dr Mark Post menées aux Pays-Bas qui la présente dans le New York Times. "
"Une équipe de chercheur hollandais dirigée par le Docteur Mark Post a réussi à créer la première « viande in vitro », qui pourrait à terme devenir une source de nourriture à part entière. Elle sera montée dans un hamburger servi dans quelques semaines dans un restaurant londonien."
Il est pas beau le mon de demain