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Le mauvais calcul de Jancovici, qui prétend qu’il faudrait une éolienne par kilomètre en France pour fournir à la France toute son énergie, est souvent repris par des orateurs du prétendu « Rassemblement national » et quelquefois par des représentants des auto-proclammés
La commission d’enquête sénatoriale sur TotalEnergies a rendu son rapport, adopté à la quasi-unanimité, mercredi 19 juin. Face à l’urgence climatique, il propose de renforcer le rôle de l’État dans la gouvernance du géant pétrolier.
[10 contre-vérités du RN] Selon le RN, l’éolien et le solaire « saccageraient » le système électrique français. C’est tout l’inverse : les renouvelables ont permis de limiter la hausse des prix et améliorent notre souveraineté énergétique.
Dans son discours de politique générale, en janvier, le premier ministre Gabriel Attal réaffirmait le revirement majeur opéré en faveur de l’atome depuis la fermeture de la centrale de Fessenheim sous le premier quinquennat d’Emmanuel Macron.
On investit de plus en plus dans les énergies renouvelables. Mais ces chiffres masquent un soutien insuffisant et fort tardif. Les fossiles assurent toujours 81 % de l’énergie mondiale.
Créateur de la première boulangerie solaire, Arnaud Crétot milite pour un accès intermittent à l’énergie. Dans cette tribune, il donne les clés pour adopter cette méthode au « potentiel colossal ».
Le ministère des Finances, désormais chargé de l'Énergie, avait confirmé mercredi le retrait de ce volet, suscitant l'incompréhension et la consternation des associations environnementales.
L’Agence internationale de l’énergie estime dans un rapport publié ce mercredi 24 janvier que les capacités électriques produites par les énergies renouvelables détrôneront le charbon en 2025.
C’est officiel, en rétablissant une taxe, le gouvernement a décidé que les prix de l'électricité augmenteront d’environ 10% au 1er février 2024. C’est donc le début de la fin du bouclier tarifaire qui annonce des dépenses supplémentaires pour la très grande majorité des Français. L’augmentation des prix est certes très légèrement en dessous de 10%, elle reste importante à un moment où les françaises et les français se débattent encore avec les conséquences de l’inflation et où beaucoup sont obligées de se priver faute de moyens financiers. La hausse représenterait entre 5 et presque 18€ par mois selon le ministère de l’Intérieur en fonction de si l’on se chauffe au gaz ou à l’électricité et de la taille de son logement. Mais pour les associations de consommateurs, certains vont devoir payer bien plus. Cette taxe devrait rapporter 6 milliards d’euros à l’État sur l’année. Et c’est un des arguments pour la justifier, il faut renflouer les caisses et revenir à la normale après des aides à la consommation d’énergies qui auraient couté 85 milliards d’euros à l’État. Seulement pour beaucoup, cette taxe envoie un message contradictoire : en taxant l’électricité plus que les énergies fossiles, l’État va à l’encontre des appels à l’électrification pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Elle est aussi considérée comme injuste et inappropriée. Alors quelle était donc l’urgence à rétablir cette taxe ? Les prix de l’électricité sont-ils condamnés à augmenter ? Et que faudrait-il faire pour assurer un futur énergétique viable qui n’aggrave pas l’urgence écologique et ne pèse pas injustement sur les citoyens ? Réponses dans cet entretien de Paloma Moritz avec Nicolas Goldberg, expert en énergie.
Des sénateurs lancent ce jeudi 25 janvier une commission pour examiner les «éventuelles contradictions» entre les engagements de la France en matière de politique climatique et les activités du géant pétrolier.
L’association Energies renouvelables pour tous, dénonce, dans une tribune au « Monde », les effets délétères de l’inclusion du nucléaire dans les objectifs français et européens de déploiement de solutions renouvelables.
Moins d’ambitions sur les renouvelables et les baisses d’émissions de CO2 : l’avant-projet de loi sur la souveraineté énergétique laisse la part belle au nucléaire et déçoit les écologistes.
Dans son avant-projet de loi, le gouvernement compte supprimer les objectifs chiffrés de développement des énergies renouvelables électriques qui existaient jusqu’ici dans le code de l’énergie, pour mieux consacrer le tout-nucléaire.
La Commission européenne a rendu lundi (18 décembre) ses recommandations sur les plans énergie-climat (PNEC) des États membres pour 2030. Sur les énergies renouvelables, la France ne remplit toujours pas sa part du contrat.
La France a dévoilé le 22 novembre sa stratégie pour sortir des énergies fossiles. Elle mise sur le nucléaire et les renouvelables, sans moyens concrets, regrette Anne Bringault, du Réseau Action Climat.
Alors que la France promeut l’atome à la COP28 de Dubaï, la Commission européenne préfère parier sur les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique.
Le panneau solaire, moins vertueux que le bidon d’essence pour l’environnement et la santé humaine ? Les panneaux photovoltaïques, souvent considérés comme une solution propre et durable pour la production d’énergie, sont entourés de légendes urbaines, selon lesquelles ils généreraient de larges quantités de déchets toxiques difficiles à recycler. Ces fausses informations ont la fâcheuse tendance à semer la confusion chez le public, en créant des doutes sur la viabilité des énergies renouvelables.
La France n’a pas respecté ses objectifs climat et énergie en 2022. Les associations écologistes réclament des mesures fortes. Le gouvernement, lui, reste flou sur la méthode qu’il compte employer.
TotalÉnergies investit (faiblement) dans les renouvelables « pour faire passer la pilule de nouveaux projets fossiles », dit Swann Bommier, de l’ONG Bloom. L’association publie un rapport cinglant sur la multinationale.
TotalEnergies utilise les énergies renouvelables pour verdir ses plateformes pétrolières | Mediapart
L’ONG Bloom dévoile dans un rapport inédit comment la multinationale déploie des énergies renouvelables en marge de ses nouveaux projets fossiles, pour communiquer sur le fait qu’elle produit du pétrole et du gaz « propres ».