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Le ministre des Affaires étrangères britannique, Dominic Raab, a vertement critiqué la réforme électorale imposée par Pékin à Hong Kong. Celle-ci serait contraire à l'accord signé entre les deux pays lors de la rétrocession de l'ancienne colonie.
Le pays souhaite faire la pluie ou le beau temps, à sa guise, sur plus de la moitié de son territoire.
Pour renouveler ses abonnements à Mediapart, l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique en France vient de nous demander de signer une attestation certifiant que nous n’utilisons aucun équipement d’entreprises chinoises. En réponse, nous lui avons signifié notre refus, dûment motivé.
Le président chinois Xi Jinping a annoncé à la tribune de l’ONU un objectif ambitieux de neutralité carbone à l’horizon 2060. Une décision qui pourrait bien constituer un tournant, à condition que le pays abandonne notamment ses centrales à charbon.
Le Président chinois Xi Jinping a annoncé sa décision d'atteindre la neutralité carbone en 2060, lors de l'Assemblée générale des Nations-Unies. Une déclaration inattendue qui permet de relancer l'Accord de Paris, mais aussi de pointer l'attitude de retrait climatique des États-Unis, sur fond de nouvelle guerre froide entre les deux puissances les plus émettrices de la planète. L'avenir de l'Accord va désormais se jouer lors de la présidentielle américaine.
Mark Zuckerberg est-il à l’origine des tensions entre Washington et Pékin au sujet de TikTok ? Oui, selon un rapport publié ce dimanche par le Wall Street Journal (WSJ). Le rapport estime que lors de son tête-à-tête avec Donald Trump en automne dernier à la Maison Blanche, Zuckerberg a clairement notifié au président que la vraie menace ne vient pas de Facebook, mais plutôt des entreprises technologiques chinoises dont la croissance et la puissance, commencent à être fortement remarquées. Il aurait dit à Trump que la répression de ces entreprises devrait être plus une priorité que de restreindre Facebook.
Après s'être attaqué à TikTok, Donald Trump cible désormais l'ensemble des géants technologiques chinois. A commencer par Alibaba.
Dans un rapport publié le 18 mai, le Centre for Research on Energy and Clean Air (CREA) montre que la pollution en Chine vient de remonter, quelque temps après le déconfinement et en pleine reprise des activités économiques. Et le constat est d’autant plus inquiétant que les niveaux sont plus élevés qu’avant le confinement. « Ces 30 derniers jours, les niveaux de polluants dangereux pour la santé en Chine ont excédé les concentrations enregistrées à la même époque l’année dernière, pour la première fois depuis le début de la crise Covid-19 », annonce le CREA. La pollution est donc actuellement plus élevée qu’à la même période en 2019.
La Chine affiche sa prétention de prendre la tête de la lutte contre le changement climatique. Plus gros émetteur de gaz à effet de serre du monde, le pays est le premier à pâtir de la pollution qu’il génère. Pourtant, le gouvernement chinois privilégie la croissance économique.
Comment fonctionne le système des travaux forcés en Chine ? Et quel poids les camps de travail ont-ils pour l'économie chinoise ? Interview avec le réalisateur Hartmut Idzko.
Plus de 200 constructeurs de véhicules électriques ou hybrides fournissent au gouvernement chinois des données personnelles, comme la géolocalisation des propriétaires des voitures.
La version censurée de son moteur de recherche pour la Chine
Google a exclu l'équipe de protection de la vie privée du projet Dragonfly, son moteur de recherche censuré destiné à la Chine, selon The Intercept. Le géant semble décidé à avancer coûte que coûte.
Selon une longue enquête de Bloomberg, du matériel fabriqué en Chine pour l’entreprise Supermicro, un des principaux fournisseurs de cartes mères au monde, a été compromis.
Eric Schmidt, ancien Pdg de Google, estime qu'Internet sera entièrement soumis aux mains des États-Unis et de la Chine à l'horizon 2030. S'il vante les "fantastiques produits et services chinois", il s'inquiète d'une éventuelle censure. Ces déclarations interviennent deux mois seulement après les rumeurs d'un retour en Chine de Google, jusqu'ici banni du territoire de la seconde économie mondiale.
"Le procédé et les acteurs des rachats de terres agricoles décrits dans le premier article, permettent de comprendre le « comment » de cette opération orchestrée par un entrepreneur français installé en Chine et les dirigeants de 2 multinationales chinoises. Reste le « pourquoi », et ce qui pourrait survenir dans un futur plus ou moins proche."
"Le rachat de 1700 hectares de terres effectué dans l’Indre par la multinationale chinoise Hong Yang n’est pas passé entièrement inaperçu. Quelques articles sont sortis entre février et mai 2016, vaguement relayés par les chaînes de télévision, puis le sujet s’est effacé, et rien ne transpire depuis. Des informations plus ou moins fiables et vérifiées ont été publiées sur ce rachat de terres agricoles, avec le nom d’un Français à la manœuvre qui a fini par sortir : Marc Fressange. Puis celui d’une autre multinationale chinoise : Beijing Reward International. Des Sociétés civiles agricoles sont aspirées une à une, comme des groupements fonciers agricoles (GFA), des changements de sièges sociaux vers la Normandie s’opèrent en toute discrétion. Puis vient la holding. Parisienne."
"Au sud de Vientiane, le Mékong est pillé pour alimenter en matériaux les immenses chantiers chinois. Une exploitation non encadrée qui affecte la vie des Laotiens, déjà en proie à la pauvreté, et a de graves répercussions écologiques."
"Malgré deux alertes rouges à la pollution atmosphérique déclenchées en décembre, l’air de la capitale chinoise s’est amélioré sur l’ensemble de l’année 2015, selon les autorités locales. La concentration de particules fines (PM2,5) dans l’air a atteint 80,6 microgrammes par mètre cube (μg/m3) en moyenne sur l’ensemble de l’année écoulée. Cela correspond à une baisse de 6,2 % par rapport à 2014 et de 10 % par rapport à 2013, première année où étaient publiés ces relevés de qualité de l’air, sous la pression d’une opinion publique inquiète et informée par les réseaux sociaux. A titre de comparaison, la concentration moyenne de PM2,5 était de 15 μg/m3 sur la station de mesure de Paris centre sur l’année 2014, selon les bilans d’Airparif."
"La croissance démographique et économique expose l’Afrique à devenir un foyer majeur de pollution, selon Ibrahim Thiaw, directeur adjoint du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE). Sauf si elle met ses forces dans le développement d’une industrie propre."