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"Le projet de budget 2016 sur l'écologie organise l'exact contraire de ce que dit Ségolène Royal. Combien de temps François Hollande et le gouvernement pourront-ils continuer à prétendre promouvoir une France « exemplaire » sur le climat et faire, chaque jour, l’inverse ?"
"Pour lutter contre la pollution atmosphérique et les émissions de CO2, la voiture électrique serait une solution presque idéale. C’est en tout cas ce que pense le gouvernement, Ségolène Royal – ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie – en tête, qui ne ménage pas ses efforts pour en faire la promotion. Aides à l’achat, financement de l’installation de millions de bornes de recharge : des milliards d’euros vont être dépensés pour que se déploient ces véhicules « sans pétrole ». Problème : personne ne connaît les consommations réelles de ces véhicules. Après les scandales sur le diesel, faut-il vraiment faire confiance aux données fournies par les constructeurs ?"
"Ségolène Royal vient d’annoncer l’interdiction, à partir du 1er janvier 2016, de la vente en libre-service aux particuliers des produits désherbants contenant du glyphosate, dont le fameux Roundup fabriqué par Monsanto. Un amendement à la loi de transition énergétique devrait être déposé au Sénat en juillet, a t-elle précisé. Dans les faits, il ne s’agit pas vraiment d’une interdiction. Les particuliers pourront continuer à se fournir en pesticides contenant du glyphosate : les points de vente devront seulement limiter l’accès à ces produits qui devront être vendus non plus en rayon mais au comptoir."
"Ségolène Royal a annoncé mardi 16 juin l’interdiction dès la fin de 2016 de la vente en libre-service du Roundup, désherbant vedette de l’entreprise américaine Monsanto. Le produit est en effet considéré comme dangereux pour la santé, car son principe actif, le glyphosate, a été reconnu cancérogène par le Centre international de recherche sur le cancer ainsi que l’Organisation mondiale de la santé (OMS). L’annonce de la ministre de l’écologie se résume pourtant à une simple manœuvre de communication pour Sophie Bordères, de l’association Générations futures, l’interdiction de tous les pesticides en vente libre étant déjà prévue pour 2018."
"La ministre de l’écologie, Ségolène Royal, veut interdire dès le 1er janvier 2016 la vente en libre-service aux particuliers des produits désherbants contenant du glyphosate, dont le Roundup, produit vedette de Mosanto. Ces pesticides sont classés « cancérogènes probables » par l’Organisation mondiale de la santé."
"La ministre de l’écologie, Ségolène Royal, a annoncé, dimanche 14 juin sur France 3, l’interdiction de la vente en libre-service dans les jardineries du désherbant vedette de Monsanto, le Roundup, afin de lutter contre les effets néfastes des pesticides."
"C’est un constat que chacun peut faire et qui vaut toutes les études : chose impensable voilà une vingtaine d’années, il est désormais possible de traverser la France tout en conservant le pare-brise de sa voiture presque vierge de toute trace d’insectes. D’autres signes, comme la division par trois de la production française de miel en vingt ans, ne trompent pas."
"L'anomalie de fabrication détectée sur la cuve du réacteur nucléaire de troisième génération construit par EDF et Areva à Flamanville, ne sonnera pas le glas de l'EPR (réacteur pressurisé européen), a affirmé dimanche 19 avril Ségolène Royal. Interrogée sur France 5, la ministre de l'écologie s'est contenté d'évoquer des « ajustements de travaux » et une ouverture « sans doute repoussée d'une année » selon EDF. Le réacteur « n'est pas condamné », a-t-elle ajouté."
"Pour la ministre de l'écologie, Ségolène Royal, il faut que plusieurs pesticides, dont le glyphosate, récemment classés cancérogènes « probables » ou « possibles » par l'agence du cancer de l'OMS, « ne soient pas en vente libre » pour les particuliers, et accompagnée d'un conseil."
"L’avenir de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin) continue de susciter l’interrogation. La ministre de l’écologie, Ségolène Royal, a précisé, lundi 9 mars sur BFM-TV, que la fermeture de la plus ancienne centrale française se fera lorsque l’EPR de Flamanville (Manche) sera ouvert. Un chantier qui ne cesse d’accuser des retards, son ouverture ayant été repoussée par EDF à 2017."
"On rembobine et on recommence. La commission mixte paritaire (CMP, sept députés et sept sénateurs) qui s'est réunie mardi 10 mars, à partir de 17 heures, pour tenter de trouver un compromis sur le projet de loi sur la transition énergétique pour la croissance verte, n'est pas parvenue à un accord."
"Après deux années de suspensions, de reculs et de négociations, l’abandon définitif de l'écotaxe en octobre 2014 va finalement coûter à l’Etat français près d'un milliard d'euros. Le conseil d'administration de l'Agence de financement des infrastructures de transport de France (Afitf) a validé, mercredi 18 février, le montage final du paiement des indemnités et du remboursement des échéances bancaires d’Ecomouv’, le consortium franco-italien gestionnaire du dispositif, pour un montant total de 969 millions d'euros, qui s'échelonnera jusqu'en 2024."
"Les Amis de la Terre accueillent avec circonspection et étonnement les mesures envisagées par les pouvoirs publics et la ministre de l’Ecologie, du développement durable et de l’énergie, Mme Ségolène Royal, en faveur du développement en France de la voiture électrique comme réponse à la pollution automobile."
"Ségolène Royal persiste et signe : la France devra, tôt ou tard, construire de nouveaux réacteurs nucléaires pour remplacer ceux qui ne pourront être prolongés et maintenir à 50 % la part d’électricité d’origine nucléaire, objectif fixé par le chef de l’Etat, François Hollande, pour l’après-2025.
Deux jours après avoir annoncé la couleur dans un entretien au magazine L’Usine nouvelle, la ministre de l’écologie et de l’énergie a réitéré ses propos, jeudi 15 janvier, en marge de ses vœux à la presse. « Nous ne faisons pas le choix des écologistes qui consiste à dire qu’il faut sortir du nucléaire, a-t-elle déclaré. Ce n’est pas le choix que fait le gouvernement : le gouvernement veut sortir du tout nucléaire, il y a une grosse nuance. »"
"La réalisation du projet initial de barrage à Sivens n'est « plus d'actualité », a annoncé la ministre de l'écologie, Ségolène Royal, vendredi 16 janvier. Mais comment alors apporter de l’eau aux agriculteurs de la vallée du Tescou, dans le Tarn, et surtout dans quelle quantité ? Pour répondre à ces questions, la ministre de l’écologie a reçu un rapport dans lequel deux experts, Nicolas Forray et Pierre-Alain Roche, prônent une solution qui leur en fournirait deux fois moins que ce qu’ils espéraient obtenir du barrage de Sivens."
"La ministre de l'écologie a validé deux nouveaux scénarios : un premier sur la réalisation d'un réservoir de taille plus réduite ; un second incluant plusieurs retenues combinées."
"Ségolène Royal veut relancer la construction de centrales nucléaires. Dans une interview au magasine Usine nouvelle publiée mardi 13 janvier, la ministre de l'écologie et de l'énergie propose l'émergence d'une « nouvelle génération de réacteurs, qui prendront la place des anciennes centrales lorsque celles-ci ne pourront plus être rénovées »."
"Ecomouv' sera bien indemnisée par l'Etat français. Cette société privée – initialement chargée de collecter l'écotaxe, avant que le gouvernement n'y renonce – devrait recevoir 839 millions d'euros pour rupture de contrat, ont indiqué, mercredi 31 décembre, des sources syndicales."
"L’arrêté préfectoral interdisant les foyers ouverts en région parisienne a été abrogé ce 30 décembre juste avant sa date d’application au 1er janvier. Cette décision se fait au détriment de la qualité de l’air et de la santé des franciliens."
"Ségolène Royal continue de s'attaquer à l'écotaxe. Après avoir annoncé le report sine die de cette mesure, qui devait faire payer les poids lourds traversant certains axes routiers, elle cible désormais Ecomouv, la société qui devait se charger de la collecte de la taxe.
Les conséquences de sa décision sont en effet loin d'être neutres : l'Etat, outre le manque à gagner de la taxe, devra également rembourser cette entreprise, qui a mis en place portiques, centres de gestion et architecture de collecte. Au total, entre manque à gagner et pénalités, il pourrait en coûter 2 milliards d'euros à l'Etat."