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Pourquoi les circuits courts n’auraient-ils pas eux aussi droit à leurs grandes surfaces ? En Alsace, plusieurs agriculteurs ont racheté les 400 m2 d’un hard-discounter pour lancer Coeur Paysan, leur propre supermarché en vente directe. Dans les rayons : charcuterie, huîtres, terrines, pain, fromage ou confiture.
Dans une étude publiée jeudi, l’ONG compose une alimentation plus saine et respectueuse de l’environnement au prix du panier standard des Français.
La Commission européenne vient de décider de reporter le vote sur le renouvellement de la licence du glyphosate, une molécule présente dans de (...)
« Chantier colossal », « troisième révolution urbaine », « porte d'entrée de l'Europe continentale »… Autour du Grand Paris, immense projet de (...)
Les petits diffuseurs doivent se confronter aux gros multiplex. Mais quand on n'a pas de 3D, on a des idées ! Le journal Le Ravi, partenaire de (...)
Utopique et engagé, le projet CoopCycle entend battre sur son propre terrain le numéro un de la livraison de repas. Issus de la mouvance Nuit Debout, de jeunes militants tentent de créer un logiciel concurrent, destiné à des coursiers organisés en coopératives.
"L’Université américaine publie une étude énergétique sur 139 Etats dans le monde qui montre que la planète pourrait parfaitement n’utiliser que les énergies renouvelables en 2050. Ce scénario supprime complètement les énergies fossiles et le nucléaire."
"Les viticulteurs bio emploient proportionnellement plus de salariés que la viticulture traditionnelle et mieux formés, même s'il existe peu de formations spécifiques initiales dédiées au bio, souligne une étude réalisée par Inra/Sup Agro Montpellier pour l'association interprofessionnelle SudVinBio."
"Le pain est probablement l’un des aliments préférés des Français, qui en ont fait un véritable art de vivre. La baguette, elle, est un symbole de la France au même titre que le vin ou le fromage. La chaîne de grande distribution Monoprix veut donc faire levier sur ce produit incontournable de la table des Français, pour promouvoir l’alimentation saine et bio mais, surtout, pour casser l’image de produit cher qu’ont les produits Bio."
"Dans la banlieue de Rouen, un jardinier amateur arrive à produire 300 kg de fruits et légumes par an, avec son potager d’à peine 50 m2. Et ce, sans pesticides ni engrais chimiques. Optimiser l’espace, favoriser les échanges entre végétaux, bien choisir les endroits où pousseront tels types de plantes, voici ses conseils en cinq grandes leçons. De quoi inspirer celles et ceux qui souhaiteraient développer l’autonomie alimentaire de leur quartier sans forcément disposer de grands espaces."
"La Ville de Berne investit plus de 800'000 francs pour analyser la possibilité de remplacer ses logiciels commerciaux par des solutions open source."
"Plusieurs conflits successifs entre les producteurs et les industriels n’y ont rien changé : le métier d’éleveur de vaches laitières ne paye pas. Sauf s’il s’agit de faire du lait bio…"
"Aujourd’hui, je vous propose un petit retour sur le Fairphone 2 qui est devenu mon téléphone il y a un mois de cela. Bon, je n’ai jamais fait d’article de ce genre alors désolé si c’est un peu décousu. Je précise d’emblée que ce n’est absolument pas un article sponsorisé ou commandé, c’est juste un retour spontané parce que je pense que cela peut en intéresser certains (les libristes en premier lieu mais pas seulement)."
"Malgré le soutien de deux maires successifs, un couple de maraîchers a dû renoncer à son installation sur cette petite île du golfe du Morbihan. Le site reste abandonné aux ronces, aux touristes et aux résidences secondaires."
"L’Institut national de recherche agronomique (Inra) met au point plusieurs variétés de vignes résistantes au mildiou et à l’oïdium. Objectif : diminuer, de façon durable, les traitements phytosanitaires... le tout, sans recours aux OGM (ni transgéniques, ni nouveaux). Seul « processus auxiliaire technologique » utilisé : la sélection assistée par marqueurs (SAM). Débutée dans les années 2000, cette recherche va conduire à l’inscription au catalogue, en 2017, de quatre variétés résistantes. Solution partielle en attendant une approche plus durable et intégrée ?"
"Les alternatives aux pesticides existent ! Elles sont mises à l’honneur dans le cadre de la Semaine pour les alternatives aux pesticides qui débute, alors que les épandages reprennent au cours de ces premiers jours du printemps et que leur caractère cancérogène inquiète de plus en plus. Grâce à des centaines d’événements, le public est invité à mieux s’informer sur les enjeux tant sanitaires qu’environnementaux des pesticides et sur les alternatives. Ou comment entrevoir un avenir sans produits toxiques."
"En France, le purin d’ortie est devenu l’emblème des Préparations Naturelles Peu Préoccupantes (PNPP) du domaine public. Celles-ci peuvent également être à base de plantes, sous forme d’extrait fermenté, décoction, infusion …mais aussi d’argile, vinaigre blanc, petit lait… Une réalité bien ancrée dans les pays voisins comme l’Allemagne, mais en France, les PNPP se heurtent à des blocages très bénéfiques pour les firmes phytopharmaceutiques. Tous à vos pulvérisateurs !"
"Vous voulez passer aux couches lavables pour votre bébé ? Découvrez leurs avantages en termes écologique et économique par rapport aux couches jetables. Vous trouverez aussi des conseils pratiques pour l’entretien des couches lavables."
"Hasard du calendrier, le lancement de la semaine mondiale des alternatives aux pesticides, organisée du 20 au 30 mars, coïncide cette année avec la publication d’une vaste étude sur les « coûts cachés » de l’utilisation de ces substances. Ce travail de longue haleine, entrepris par deux chercheurs de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) et publié dans la dernière édition de Sustainable Agriculture Reviews, est le premier à colliger l’ensemble des connaissances disponibles sur ce que les économistes appellent les « externalités négatives » liées à l’utilisation des produits phytosanitaires. Ce fardeau économique, estiment les chercheurs, peut dans certains cas excéder largement les bénéfices offerts par les herbicides, fongicides et autres insecticides."
"Leur semaine de travail se rapproche des 35 heures, ils produisent de la viande de qualité, et estiment percevoir des revenus suffisants. Les éleveurs de porcs de la ferme bio du Loriot, en Auvergne, ne connaissent pas la crise ni la spirale de l’endettement. Tout simplement parce qu’ils n’ont pas choisi l’élevage intensif industriel, comme la plupart des producteurs porcins. Comment s’en sortent-ils économiquement ? Reportage."