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C’est la première loi « climat » du quinquennat Macron : l’Assemblée nationale a terminé mercredi l’examen du texte mettant fin à la recherche et à l’exploitation des hydrocarbures. Mais les pétroliers et le vieux monde institutionnel se battront jusqu’au bout contre les restrictions.
Le 4 octobre 2017 - L'Assemblée nationale vient d'examiner en première lecture le projet de loi Hulot “mettant fin à l'exploration et l'exploitation (...)
Laurent Wauquiez annonce, ce mercredi 20 septembre, renoncer à ses privilèges de haut-fonctionnaire en termes de retraite. Pour justifier sa décision tardive, il plaide le manque de "vigilance", ce qui est tout sauf crédible...
"A en croire Eric Ciotti, les «méthodes» d'Envoyé Spécial auraient choqué jusqu'à la journaliste anglaise qui a interviewé Pénélope Fillon en 2007. Faux, rétorque-t-elle."
"Depuis que le parquet a demandé son renvoi pour un procès en correctionnelle, Nicolas Sarkozy et son entourage n'ont de cesse de répéter qu'il n'est pas mis en examen pour "financement illégal" de sa campagne présidentielle de 2012 mais pour simple dépassement du plafond. Sauf que même répété sur tous les tons et dans tous les médias, un mensonge n'en devient pas pour autant une vérité… "
"«Cela fait 4 milliards d’années que le climat change. Le Sahara est devenu un désert, ce n’est pas à cause de l’industrie. Il faut être arrogant comme l’Homme pour penser que c’est nous qui avons changé le climat… ». Voila, ce que, selon Hervé Nathan, un journaliste de Marianne, Nicolas Sarkozy, entre autres perles, a lancé devant un auditoire de chefs d’entreprise."
"Candidat à la primaire de la droite, Nicolas Sarkozy était le premier invité de la nouvelle émission politique de France 2, jeudi 15 septembre. Interrogé par David Pujadas et Léa Salamé, il est revenu sur ses propositions en matière de terrorisme, d’économie ou encore d’immigration."
"Placé face à ses contradictions dans "l’Emission politique" sur France 2 ce jeudi soir, l’ex-chef de l’Etat n’a pas voulu admettre qu’il avait changé d’avis sur des sujets aussi divers que la Constitution, l’immigration, le déficit public ou le réchauffement climatique."
"Nicolas Sarkozy était l’invité de la première de « L’Emission politique » sur France 2 jeudi 15 septembre. L’ancien chef de l’Etat, candidat à la primaire de la droite, y a défendu ses propositions et répondu aux accusations dont il fait l’objet dans l’affaire Bygmalion. Le vrai du faux de certaines déclarations-clés de la soirée."
"Le Jean-François Copé d'aujourd'hui ne trouve rien à sauver dans le quinquennat présidentiel de Nicolas Sarkozy. En 2012, il était pourtant en première ligne pour lui tresser des lauriers. Ou comment, pour faire campagne aujourd'hui, démontrer aux militants de droite qu'il leur avait raconté n'importe quoi la dernière fois."
"Candidat déclaré à la présidentielle depuis ce lundi, Nicolas Sarkozy a enregistré le ralliement de plusieurs ténors de la droite qui disent aujourd’hui le plus grand bien de lui… alors qu’il ne l’ont pas toujours épargné hier. Petit florilège d’opportunisme."
"L’ex-président de la République Nicolas Sarkozy avait fermement déclaré au micro de RMC en mars 2012 qu’en cas de défaite à l’élection présidentielle, il quitterait la politique. Quatre ans plus tard, cette promesse n’est pas tenue. Malgré sa défaite alors face à François Hollande, Nicolas Sarkozy fait acte de candidature à la primaire de la droite et espère se présenter à la présidentielle de 2017."
"L'ancien chef de l'Etat préconise un nouveau tour de vis sécuritaire après les attentats islamistes qui ont frappé la France en ce mois de juillet. Mais certaines de ses propositions vont à rebours de son bilan en matière d'effectifs policiers, de renseignement ou de politique pénale…"
"Le président du conseil régional de Paca soutient la proposition de Nicolas Sarkozy de rétablir le cumul des mandats dès 2017. Mais pour faire bonne mesure, Christian Estrosi propose néanmoins d'obliger les parlementaires à ne pas enchaîner plus de deux mandats. Savoureux, de la part de celui qui a été élu député pour la première fois en 1988…"
"Deux ministres du gouvernement, Laurent Fabius et Ségolène Royal, viennent d’appeler à « une mobilisation universelle et immédiate » sur le changement climatique, qu’ils considèrent comme « une menace grave pour la biodiversité, la sécurité alimentaire et la santé ». Il était temps alors que les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère ont atteint les niveaux les plus élevées depuis 800 000 ans, selon le dernier rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat). Mais ce serait encore mieux si cette « mobilisation universelle » s’appliquait aux entreprises dont l’État est propriétaire, en particulier EDF."
"Le projet Cazeneuve est examiné par le Sénat. L’arme du blocage de sites est très critiquée : dangereuse pour les libertés et peu efficace."
" Pour la sixième année consécutive, l'étude de PwC "Low Carbon Economy Index, 2 degrees of separation – ambition & reality" montre le fossé entre l'action des états pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et les mesures qui seraient nécessaires.
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L'étude révèle le décalage entre les négociations climatiques mondiales, visant à limiter à 2°C le réchauffement de la planète, et la trajectoire actuelle qui fait craindre un réchauffement catastrophique de 3 ou 4° C. "
"Il n'est pas certain que les pouvoirs publics choisissent de fermer Fessenheim plutôt qu'une autre centrale nucléaire, a déclaré, mardi 14 octobre sur RTL, la ministre de l'énergie, Ségolène Royal."
"A part les deux têtes à gauche et à droite du président de séance, la discussion sur l’article neuf du projet de loi pour le renforcement de la lutte contre le terrorisme à donné lieu à quelques incongruités. Notamment en ce qui concerne les explications techniques du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, à propos des techniques de blocage des sites envisagées. Retenons principalement que le deep packet inspection est cher, intrusif, qu’il perturbe le trafic et qu’il ne sera pas utilisé.
Isabelle Attard et Laure de La Raudière ont demandé à Bernard Cazeneuve d’expliquer les méthodes retenues pour bloquer l’accès aux sites faisant l’apologie du terrorisme (par exemple). Visiblement incapable de répondre sur les aspects techniques, le ministre s’est probablement fait préparer une fiche par ses services. Et ce n’est pas terrible non plus.
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Il est vrai que sur le plan technique et sur celui de l’efficacité, nous sourions. Mais sur le plan des libertés individuelles, sur celui du recul du rôle du juge, nous ne sourions pas. Le gouvernement socialiste fait pire que les gouvernements du quinquennat Sarkozy. Il demande aux députés de voter un article visant à faire ce que les députés socialistes combattaient pendant l’ère Sarkozy. Dans leur saisine du Conseil constitutionnel, les députés socialistes estimaient qu’« Il n’est bien évidemment pas dans l’intention des requérants de prétendre que l’accès à des sites pédopornographiques relèverait de ladite liberté de communication. En revanche, ils ne sauraient admettre que, faute de garanties suffisantes prévues par le législateur, la liberté de communication via internet subisse des immixtions arbitraires de la part des autorités administratives sous couvert de lutte conte la pédopornographie »."
"Le « référendum d'initiative populaire » promis par François Hollande il y a un mois sera voté le 19 novembre prochain. Loin d'une révolution, il s'agit en fait d'un texte ultra-verrouillé, écrit par l'ancien ministre sarkozyste Brice Hortefeux et repris tel quel par la majorité actuelle. La procédure est si restrictive que ce texte de loi risque de ne jamais déboucher sur le moindre référendum."