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La Cour européenne des droits de l’homme a de nouveau condamné la France, jeudi 4 septembre, pour son traitement judiciaire des violences sexuelles. La juridiction revient notamment sur les notions de consentement et de contrôle coercitif.
On y entend des propos outranciers envers les écologistes et rassuristes sur la crise climatique. Mais qui sont les réels responsables de la canicule ? Les chaînes de télévision en continu, type BFMTV ou CNews, ne les évoquent pas.
Emmanuel Macron a prévu d’aborder le sujet lors du Conseil européen du 26 juin. La France souhaite notamment obtenir que l’énergie nucléaire soit traitée sur un pied d’égalité avec les renouvelables.
La France s’apprête à relancer un débat stratégique sur l’avenir climatique de l’Union européenne, jeudi 26 juin à l’ouverture du Conseil européen à Bruxelles. Selon Le Monde et Contexte (via sa newsletter), Emmanuel Macron entend profiter du dîner consacré à la compétitivité pour soulever un sujet pourtant absent de l’agenda officiel : l’objectif de réduction de 90 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2040, proposé par la Commission européenne. Une étape clé vers la neutralité carbone en 2050 que Paris, pour l’heure, ne soutient pas.
Une nouvelle étude du Conseil d’analyse économique (CAE) se penche sur l’exil des plus riches en cas de hausse de la fiscalité les concernant. Elle conclut que le phénomène est très marginal.
En cas de hausse des impôts sur le patrimoine, l'expatriation des plus fortunés resterait faible et aurait un effet modeste sur l'économie nationale, conclut une étude du Conseil d'analyse économique. L'optimisation fiscale réduit davantage les recettes que les départs à l'étranger.
Carte montrant l'évolution du réseau de chemin de fer français entre les années 1910 et 2010 (et notamment la disparition de nombreuses « petites lignes »)
À compter de ce samedi 19 avril 2025, nous avons (théoriquement) consommé, en France, ce que la planète est capable de produire en un an, d’après le Global Footprint Network. Ce « jour du dépassement » était intervenu 16 jours plus tard l’an dernier.
Alors que le Sénat vient de rejeter l’accord commercial avec le Canada (Ceta) et qu’un nouveau refus se profile à l’Assemblée nationale, la France pourrait ne pas tenir compte de cette décision. L’opposition dénonce une dérive anti-démocratique.
La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a condamné jeudi la France pour le recours sans base légale à une nasse policière lors d’une manifestation en 2010 à Lyon, estimant qu’il y avait eu des violations des libertés de circulation, de réunion et d’expression.
Un rapport de l’Institute for Strategic Dialogue et de la Fondation des femmes décortique la manière qu’ont les groupes anti-choix de diffuser en ligne des informations trompeuses, voire dissuasives sur l’avortement, s’appuyant sur les relais de diverses pages d’extrême-droite.
Des ONG ont lancé un appel à suspendre les transferts d’armes à l’État hébreu et aux groupes armés palestiniens, mercredi 24 janvier. Le ministère des armées assume d’exporter des équipements militaires à Israël « afin de lui permettre d’assurer sa défense ».
Les critères que la France espérait instaurer dès 2024 entrent en conflit avec un texte européen en cours d’élaboration. Moins contraignant, ce dernier ne devrait pas s’appliquer avant 2025.
Les trois premiers trimestres 2023 enregistrent un recul des émissions par rapport à 2022, principalement lié à la crise énergétique.
Dans un jugement rendu vendredi, le tribunal administratif de Paris rejette la demande d’une astreinte financière d’un milliard d’euros pour « inaction climatique ».
Le projet de loi pour la souveraineté énergétique est « préoccupant », alerte Anne Bringault, du Réseau Action Climat. Les ambitions climatiques ont en effet été enlevées du texte.
La ministre de la transition énergétique répète à l’envi que la France est le premier pays industriel à sortir des énergies fossiles. En réalité, c’est tout l’inverse : gaz, autoroutes, engrais et même charbon, le gouvernement refuse toujours de rompre avec les principales sources de gaz à effet de serre.
L’exécutif, main dans la main avec les gouvernements d’extrême droite italien et suédois et le régime illibéral de Viktor Orbán, plaide pour autoriser en Europe la surveillance des journalistes par des logiciels espions, au nom de la sécurité nationale.
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Concrètement, cela signifie qu’au nom de la sûreté nationale, les services de renseignement européens pourraient en toute légalité déployer des logiciels espions comme Pegasus ou Predator contre des journalistes, afin d’identifier leurs sources. Une clause qui tient en quelques lignes, mais qui pourrait entraîner de graves conséquences pour le secret des sources et le droit d’informer sur le Vieux Continent. Un comble pour un règlement européen conçu à l’origine pour faire face à la détérioration de la liberté de la presse dans des pays comme la Hongrie et la Pologne.
La France, l’Italie, la Finlande, la Grèce, Chypre, Malte et la Suède veulent torpiller la 1ere loi européenne visant à protéger la liberté et l’indépendance des médias en Europe, militant pour autoriser la surveillance des journalistes au nom de « la sécurité nationale ». Le syndicat de la Presse Pas Pareille relaye le résumé de cette affaire, et fait part de son inquiétude face à ces attaques.
Chypre, l’Italie, la Finlande, la France, la Grèce, Malte et la Suède font pression sur les négociations avec le Parlement européen pour torpiller la première loi européenne visant à protéger la liberté et l’indépendance des médias (« European Media Freedom Act »). Des documents internes obtenus par Investigate Europe, Disclose et Follow the Money, révèlent que ces sept gouvernements manœuvrent activement pour que l’Union européenne autorise la surveillance des journalistes — y compris via des logiciels espions — si cela peut « préserver la sécurité nationale ».