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Le Parlement s’apprête à voter une proposition de loi portant « sur la protection des savoir-faire et des informations commerciales non divulgués (secrets d’affaires) contre l’obtention, l’utilisation et la divulgation illicites ». Dans cette lettre ouverte, de nombreux lanceurs d’alertes, syndicats, associations, journalistes, chercheurs, rappellent au chef de l’État sa promesse de défendre le droit à l’information et l’intérêt général.
La proposition de la Commission européenne pour un droit d’auteur supplémentaire pour les sites d’information devrait-elle devenir une loi, limitant la façon dont nous pouvons partager des informations en ligne ?
Beaucoup de gens le savent, mais peu en soupçonnent l'ampleur : la collecte de nos données personnelles par les services Web et informatique... by kaliangel
Mozilla, l’éditeur de Firefox, exprime ses inquiétudes quant à l'avenir d'Internet dans son premier rapport sur la santé de l’Internet, dénonçant les dérives d’une économie basée sur la publicité et les données personnelles, ainsi que la domination de géants échappant à la régulation.
Le tribunal de commerce de Paris vient d’obliger le magazine Challenges à retirer un article de son site Internet. En cause : non pas la véracité des informations publiées mais le fait que l’article pointait les difficultés économiques de l’enseigne de vente de meubles Conforama. Serait-il désormais interdit d’enquêter sur la santé économique des entreprises ? Voici le communiqué du collectif Informer n’est pas un délit, dont les journalistes de Bastamag font partie.
La condamnation du magazine économique Challenges à retirer son article sur la mauvaise santé financière de Conforama pose la question de la censure dans la presse au profit des grandes entreprises.
Une vingtaine de jours après l'annonce par Emmanuel Macron d'un projet de loi anti fausses informations en période électorale, l’avenir d'Internet est plutôt sombre. Félix Tréguer, co-fondateur de La Quadrature du Net, nous explique pourquoi.
Samidh Chakrabarti, directeur produit chez Facebook, s'est lancé dans le difficile exercice de répondre aux questions revenant régulièrement aux oreilles de l'entreprise.
Réparer Facebook ? En 2018, c'est probablement la meilleure idée de Mark Zuckerberg.
Alors que les députés débutent l’examen en commission du premier texte sécuritaire d’Emmanuel Macron, l’Intérieur a fourni les derniers chiffres de l’état d’urgence. Un encéphalogramme définitivement plat.
Alors que Macron a annoncé une loi contre les "fake news", les exemples étrangers montrent qu'il est parfois possible de prétexter de la lutte contre des "fausses nouvelles" pour mettre au pas la presse. Et donc que ce cadre législatif est à manier avec une extrême précaution. Démonstration avec Erdogan, que Macron reçoit à l'Elysée ce 5 janvier.
Hier soir, Emmanuel Macron a annoncé une future loi contre la propagation de « fausses informations ». Derrière un effet d'annonce assez cynique, il révèle son désintérêt pour un sujet qui mérite pourtant un traitement sérieux. La propagation de « fausses informations » est le symptôme d'une distorsion du débat public provoquée par la surveillance économique des grandes plateformes - dont les partis politiques traditionnels s’accommodent très bien, quand ils n'y ont pas recours.
Sur le net, le règne des « haters » et autres « rageux » semble établi solidement. Célébrités et responsables politiques sont dans le viseur. L’insulte à la côte sur le grand marché numérique et médiatique. Les politiques eux mêmes l’ont bien compris qui pratiquent tacitement la « règle des trois C ». « Clash », puis « Contre-clash » et enfin passage sur les plateaux des chaines d’info en continue pour établir le « Commentaire du clash » initial en un cycle de communication auto-entretenu.
Macron a annoncé un projet de loi contre la propagation de fausses informations sur Internet en période électorale. Un sujet complexe, qui soulève des questions.
La loi sur la liberté de presse n’est plus suffisante, selon le président qui a annoncé mercredi vouloir une loi contre les fausses nouvelles en période électorale.
Le Parlement européen a adopté par 408 voix contre 254 (et 33 abstentions) l'accord de libre échange CETA. Les parties du texte considérées comme « non-mixtes » pourront donc entrer en application provisoire dès le mois d'avril, en attendant que les parlements régionaux et/ou nationaux des États membres ne soient consultés.
Les députés ont formulé cette semaine une proposition pour améliorer la transparence du travail des lobbyistes à l'Assemblée. Beaucoup d'efforts restent à faire.
C’est Kim Kardashian qui va être déçue. Quelqu’un sait mieux qu’elle comment casser Internet. Le challenger a un nom, Ajit Pai, des cravates douteuses et une fonction : président de la Federal Communications Commission (FCC), le gendarme des télécoms américain. Nommé par Trump, il est devenu la némésis des défenseurs du web ouvert en s’attaquant bille en tête à la neutralité du Net. Je vous vois, ceux du fond qui, à la simple évocation de ce sujet aussi austère qu’une messe luthérienne, commencent à piquer du nez.
De communications en directives, l’incurie de la Commission européenne dans le domaine de la technologie et des contenus en ligne apparaît de plus en plus clairement.
Si ce n'est pas ce que vous voulez, s'il vous plaît prenez les mesures nécessaires ici : http://autonomousweapons.org/