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"C’est une nouvelle pierre dans le jardin des néonicotinoïdes – ces insecticides soupçonnés d’être les principaux responsables du déclin des abeilles et des insectes pollinisateurs. Dans une expertise rendue publique mercredi 26 août, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) estime que les trois principales molécules (clothianidine, thiaméthoxame et imidaclopride) de cette famille représentent « des risques élevés » pour les abeilles, même utilisées en simple pulvérisation."
"Les petits et grands travaux d’aménagement du territoire permettent-ils vraiment de créer des emplois ? Oui, mais beaucoup moins que ce qu’ils promettent, selon Jacqueline Lorthiois, socioéconomiste, et l’une des très rares spécialistes de ce sujet. Suite de notre série sur le grand bétonnage. "
"Des voix s'élèvent pour remettre en cause le périmètre des «ceintures vertes» qui entourent les grandes agglomérations du pays. Et notamment Londres."
"Selon une étude américaine, les chiffres déclarés entre 1948 et 1972 par le Japon seraient frauduleux."
"Les estimations les plus optimistes montrent que la faune de la Terre est en train de subir sa sixième extinction de masse, selon une étude publiée vendredi 19 juin dans la revue Science Advances. Comme l’explique cette vidéo proposée par Universcience, sur 1,8 million d’espèces animales et végétales recensées, 20 000 sont répertoriées comme menacées par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN)."
"Plus de cent fois le rythme « naturel » des extinctions d’espèces : le 19 juin, des chercheurs américains publiaient dans Science Advances une estimation de la vitesse à laquelle la biodiversité s’érode sous la pression des hommes. Suffisant pour parler d’une « sixième extinction », ce taux n’est pourtant – comme l’écrivaient les auteurs – que l’évaluation la plus optimiste possible."
"Des chercheurs français viennent de démontrer que les rendements des cultures sont plus élevés quand différentes plantes sont mélangées et qu’elles possèdent un patrimoine génétique diversifié. L’exact contraire de ce que fait l’agriculture depuis 60 ans."
"Selon un récent modèle scientifique, la société va s’effondrer en moins de trois décennies en raison de pénuries alimentaires catastrophiques si les politiques ne changent pas. Par ailleurs, une étude publiée vendredi 19 juin par des experts des universités américaines de Stanford, de Princeton et de Berkeley publiée dans le journal Science Advances, « montre sans aucun doute possible que nous entrons dans la sixième grande extinction de masse »".
DIAPORAMA. Nous sommes bien en train de vivre une nouvelle extinction de masse - Sciencesetavenir.fr
"Annoncée, démentie, puis remise au goût du jour. Une nouvelle extinction animale de masse a été confirmée par un groupe de scientifiques."
"L’interdiction des néonicotinoïdes – ces pesticides qui contribuent notamment à décimer les abeilles – devient un sujet récurrent à l’Assemblée nationale. Mercredi 24 juin, Delphine Batho, Gérard Bapt et Jean-Paul Chanteguet, trois députés socialistes à la pointe de ce combat, ont poussé un nouveau cri d’alerte à l’occasion d’un forum citoyen réuni à leur initiative."
"Une étude publiée le 19 juin par la revue Science Advances vient d'estimer que la faune terrestre est entrée, du fait des modifications que l'homme fait subir à la nature, dans la sixième grande extinction de son histoire. Comme l'explique, dans cette vidéo proposée par Thinkovery, Olivier Lorvelec, ingénieur à l'Institut national de la recherche agronomique, se pose donc la question de savoir s'il faut sauver la biodiversité et surtout pour quelles raisons il faudrait le faire."
"Les espèces animales disparaissent environ 100 fois plus rapidement que par le passé, les estimations les plus optimistes montrant que la faune de la Terre est en train de subir sa sixième extinction de masse, selon une étude publiée vendredi 19 juin par des experts des universités américaines Stanford, Princeton et Berkeley, notamment."
" Le projet de loi biodiversité débattu en mars en première lecture à l'Assemblée nationale se montre impuissant face la biopiraterie.
La diversité de la vie est insupportable parce qu'elle se reproduit gratuitement. Comment enrichir les riches si aucun argent n'est utilisé pour produire les biens essentiels que nous offre la nature ? En 1992, la Convention sur le diversité biologique (CDB, 1) a mis fin à ce scandale en faisant rentrer la biodiversité dans le marché. Si les peuples indigènes qui vivent de leur immersion au sein de la biodiversité sauvage sont les plus menacés, les paysans qui cultivent et élèvent la biodiversité végétale, animale, des micro-organismes des sols et des transformations fermières sont aussi la cible des marchés."
"Souvent montrée du doigt pour son rôle dans l’érosion de la biodiversité, l’agriculture intensive n’est pas seule en cause dans la raréfaction des insectes pollinisateurs. Les jardiniers du dimanche ont aussi une part de responsabilité. C’est, en substance, le résultat de travaux de chercheurs français, publiés dans la dernière édition de la revue Biological Conservation, qui montrent pour la première fois que l’utilisation par les particuliers de pesticides – insecticides et herbicides – peut avoir des effets négatifs « à grande échelle » sur les papillons et les bourdons. A l’inverse, et de manière surprenante, d’autres produits phytosanitaires semblent avoir un effet positif sur ces deux groupes."
"C’est un constat que chacun peut faire et qui vaut toutes les études : chose impensable voilà une vingtaine d’années, il est désormais possible de traverser la France tout en conservant le pare-brise de sa voiture presque vierge de toute trace d’insectes. D’autres signes, comme la division par trois de la production française de miel en vingt ans, ne trompent pas."
"Le monde se mobilise pour les abeilles. La Maison Blanche a dévoilé mardi 19 mai un plan d’action national pour sauver les abeilles et autres pollinisateurs en péril. La ministre française de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, Ségolène Royal, devait faire de même mercredi."
"La Maison Blanche a dévoilé, mardi 19 mai, un plan d'action national pour sauver les abeilles et autres pollinisateurs en péril, qui jouent un rôle clé dans la sécurité alimentaire américaine et pour l'environnement."
"Phytogénéticien des plantes, R.A. Brac a choisi de consacrer sa vie professionnelle au service de la biodiversité cultivée, chemin qu’il explique en partie dans son avant-propos par l’influence d’un professeur de génétique, Jean Pernès, « exemplaire [sur la] co-évolution des plantes domestiquées avec les savoirs-faire des communautés paysannes »."
"L’université américaine du Maryland a rendu publics, mercredi 13 mai, les résultats de son enquête annuelle sur les mortalités d’abeilles. Les chiffres présentés donnent à voir une catastrophe inédite. Selon les données recueillies, les apiculteurs américains ont perdu en moyenne 42,1 % de leurs colonies entre avril 2014 et avril 2015. Pour la première fois, les mortalités hivernales ont été inférieures aux mortalités intervenues au cours de la saison d’activité des ruches – le printemps et l’été –, une situation décrite comme « inédite et tout à fait exceptionnelle » par l’apidologue Dennis van Engelsdorp, maître de conférences en entomologie à l’université du Maryland et coauteur de l’enquête."
"Aux Etats-Unis, le nombre d'abeilles a une nouvelle fois chuté. Le responsable : le syndrome d'effondrement des colonies, une maladie dont on ne sait presque rien mais qui décime régulièrement des colonies entières de ces insectes."