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"Parodiant le modèle des "Brefs" de Canal +, la pmp a produit cette vidéo décalée qui, sur base d'un quiproquo, démonte les idées reçues sur le passif et donne de l'information à la fois."
"La maire de Paris expose, au « Journal du dimanche », certaines des mesures souhaitées par sa municipalité pour réduire la pollution."
"Bruxelles avait elle-même évalué de 40 à 140 milliards d’euros les gains de santé attendus de la nouvelle directive."
"A l'approche des fêtes de fin d'année, les étals des poissonneries proposent davantage de produits alimentaires festifs comme le saumon. Si les Français en sont friands, la majeure partie du saumon qui nous est proposée provient d'élevages dont les conditions laissent les consommateurs dans la perplexité voire la méfiance. Faut-il en avoir peur ? Nous sommes partis enquêter sur place, en Norvège."
"Invisibles à l’œil nu, les nanoparticules envahissent le quotidien, depuis nos vêtements jusqu’à nos assiettes, sans aucun étiquetage ni traçabilité. Malgré les nombreuses études attestant de la toxicité de certaines de ces particules, les gouvernements refusent d’appliquer le principe de précaution et investissent des milliards d’euros en recherche et développement dans les nanotechnologies. Comment repérer et se protéger de ces nouvelles molécules high-tech ? Entretien avec le journaliste Roger Lenglet, qui décrypte dans son ouvrage Nanotoxiques les dessous de cette menace pour la santé publique."
"Le 7 novembre 2014, Simplot, une entreprise étasunienne basée dans l’Idaho, a obtenu du ministère de l’Agriculture (USDA / APHIS) l’autorisation de commercialisation, pour la culture, et l’alimentation humaine et animale, d’une pomme de terre cisgénique (c’est-à-dire avec des gènes transférés ou modifiés de la même espèce), nommée Innate. Elle a été modifiée génétiquement afin d’éliminer l’acrylamide. Cette substance « se forme au moment de la cuisson à haute température de certains aliments riches en asparagine (un acide aminé) et en amidon », indique l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) sur son site internet. Et de préciser que « cette molécule est reconnue comme cancérogène avéré pour l’animal et possible pour l’homme par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) ». Donc proposer des pommes de terre transgéniques qui ne produisent pas d’acrylamide semble être une bonne nouvelle pour la santé des consommateurs. Cette pomme de terre présente aussi l’intérêt cosmétique, comme la pomme Arctic [2], de ne pas brunir une fois coupée."
"L’image a de quoi faire frémir : le 13 décembre 2013, les rues de Paris étaient aussi polluées qu’une pièce de 20 mètres carrés occupée par huit fumeurs. La capitale subissait alors un épisode de pollution extrêmement dense, dû au trafic routier, au chauffage au bois et aux activités industrielles. A 18 heures, le ciel était chargé de 6 millions de particules très fines par litre d’air, 30 fois plus que la normale. L’atmosphère pour un Parisien était assimilable à du tabagisme passif."
"Le fond de l’air est frais… mais surtout très pollué. C’est ce qui ressort des données publiées par l'Observatoire Atmosphérique Generali – connu également sous le nom de "Ballon de Paris" installé dans le parc André Citroën – et épluchées dans les pages du Monde qui en fait sa une aujourd’hui. Conclusions : la pollution de l’air à Paris est aussi nocive que le tabagisme passif et coûte six mois d’espérance de vie aux Parisiens. En cause : le diesel."
"Après avoir été longtemps considérés comme des aliments très bénéfiques pour la santé et indispensables à un bon équilibre alimentaire, les produits laitiers font depuis quelques années l'objet de violentes attaques, souvent très médiatisées, de la part de certains courants de médecine alternative qui y voient, au mieux, une composante inutile de notre alimentation et au pire un « poison » qui serait responsable de tous les maux, des allergies au cancer, en passant par l'angine et la bronchite !"
"La Journée européenne d’information sur les antibiotiques a lieu mardi 18 novembre. Avec une préoccupation : la multiplication des cas d’infections dits « difficiles » à traiter avec des antibiotiques courants. La situation tient à trois facteurs : les antibiotiques ont été trop utilisés; les bactéries ont développé leur résistance à ces médicaments; et les industriels ont levé le pied en matière de recherche, laissant les médecins dans des impasses thérapeutiques face aux « superbactéries » qui ont émergé. "
"IBM a annoncé avoir investi dans la société Pathway Genomics pour fournir des conseils personnalisés aux utilisateurs en fonction de leur ADN et des autres données collectées et croisées en temps réel grâce aux appareils connectés (montres, bracelets, ...), ou même aux réseaux sociaux. Une surveillance accrue, de plus en plus attentatoire à la liberté, au bénéfice d'une meilleure santé."
"Avec un prix fixé à 54.600 euros pour un traitement de 3 mois, le Sovaldi cristallise les craintes des associations, qui constatent un accroissement des inégalités d'accès aux soins."
"Les édulcorants artificiels ont le vent en poupe : censés remplacer avantageusement le sucre, sans en avoir les inconvénients, on les retrouve depuis quelques années dans les yaourts sans sucre et de nombreux plats de régime. On dit qu'ils aident à perdre du poids et à prévenir le diabète, mais ils pourraient en réalité accélérer le développement de l'intolérance au glucose et de maladies métaboliques. Ils font cela d'une manière surprenante, en changeant la composition et le fonctionnement de la flore intestinale, l'importante population de bactéries qui se trouve dans les intestins. Ces découvertes, résultats d'expériences faites sur des souris et sur des humains, ont été publiées dans la revue Nature."
"Le très fort intérêt de certains ados pour la junk food pourrait être notamment lié à Facebook. Une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Sydney, publiée dans l’American Journal of Public Health, montre que les marques proposant de la malbouffe (ici définie comme un ensemble de produits «très caloriques et pauvres en éléments nutritifs») utilisent beaucoup ce réseau social pour leur marketing à destination des adolescents."
"L’émergence de l’épidémie d’Ebola en Afrique pourrait bien être liée aux perturbations environnementales engendrées par l’homme. « La déforestation, notamment, porte les chauves-souris, réservoir naturel du virus, à quitter leurs habitats traditionnels et à aller s’installer, pour pouvoir se nourrir, près d’arbres fruitiers dans les villages et donc au contact avec l’homme », explique Jean-François Guégan, directeur de recherche à l’Institut de recherche pour le développement (IRD), et spécialiste des liens entre environnements et épidémies."
"Avec la technologie de nano-diagnostic, Google vient de dévoiler une nouvelle tentacule de son projet global. Après les voitures sans conducteur, les Google Glass et les ballons pour permettre la connexion à Internet dans des lieux non couverts par les réseaux, le groupe américain s’immisce dans le monde de la e-santé.
L’idée : faire ingérer un comprimé contenant des particules intelligentes qui se diffuseront dans le sang. Une fois dans les veines, elles analyseraient en permanence sa composition et détecteraient les signaux annonciateurs d’une maladie ou d’un trouble cardio-vasculaire."
"Substances allergisantes ou irritantes contenues dans certains parfums, conservateurs toxiques, perturbateurs endocriniens... Le magazine "60 millions de consommateurs" a testé les formules de 52 produits d'hygiène et de soin pour nourrisson, et plus de la moitié des produits (28 sur 52) se révèlent à proscrire, y compris des produits de grande marque, révèle RTL mercredi 22 octobre."
"La ministre de la Santé Marisol Touraine a annoncé sa stratégie face à la demande inique de la firme américaine Gilead pour son nouveau traitement contre l’hépatite C, le Sovaldi, le nom commercial du sofosbuvir. En France, Gilead réclame 56 000 euros par patient pour une cure de douze semaines. En Allemagne, le prix a été fixé à 49 000 euros, au Royaume-Uni à 44 000 euros. Dans tous les cas de figure des sommes astronomiques."
"Publiée dans la revue scientifique British Journal of Nutrition [1], en juillet 2014, une étude réalisée par Carlo Leifert, professeur à l’Université de Newcastle (Royaume Uni), relance le débat sur l’intérêt sanitaire de l’agriculture biologique. A intervalle régulier, en effet, des études vantant les mérites de l’agriculture bio ou, au contraire, dénonçant cette pratique comme n’apportant aucun bénéfice notoire aux consommateurs, sont réalisées et engendrent dans la foulée des polémiques passionnées. Carlo Leifert considère que deux revues critiques vis-à-vis de l’agriculture bio, publiées en 2009 dans American Journal of Clinical Nutrition et en 2012 dans Annals of Internal Medicine, ne sont pas concluantes car basées sur un nombre trop faibles d’études. Son travail, explique-t-il, prend en compte les résultats de 343 autres travaux (contre 55 pour l’étude de 2009). Le professeur explique cette différence en soulignant que “la recherche dans ce domaine a mis du temps à prendre son essor et [que] nous avons aujourd’hui beaucoup plus de données à notre disposition qu’il y en avait il y a cinq ans”."
"Le Pesticide Action Network Europe (*) et Générations Futures publient ce jour un rapport qui montre que les régulateurs ignorent l'obligation légale de produire toutes les études scientifiques de moins de 10 ans dans les dossiers de demande d’homologation des matières actives de pesticides au niveau européen. Ce rapport, assez technique, très sérieux, montre aussi que les régulateurs n’utilisent pas ces études pour définir des niveaux d'exposition les plus sûrs possibles mais se contentent des études fournies par les industriels eux-mêmes."