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"Apple a décidé d'interdire aux développeurs de stocker des données de santé dans iCloud. Une décision qui protégera mieux la vie privée des utilisateurs, mais qui permet aussi de faire de HealthKit la seule base de données médicales utilisable par les développeurs sous iOS."
"Une question en au centre du débat entre les partisans et détracteurs de l’agriculture bio : les aliments bio sont-ils meilleurs pour la santé ? Sont-ils plus riches en antioxydants et moins contaminés par des métaux toxiques et des pesticides ?"
"Les OGM permettent d'utiliser moins de pesticides et de produits chimiques: c'est l'argumentaire de l'industrie transgénique. Problème: il est faux et l'Argentine, massivement convertie au soja OGM, est en train d'en payer le prix fort sur le plan sanitaire et agricole. Le journaliste Paul Moreira en revient, avec un documentaire diffusé lundi sur Canal+. Enquête et extraits."
iPhone 6 : après l’empreinte digitale, Apple veut ficher votre état de santé - Le nouvel Observateur
"La firme de Cupertino présentera son nouveau smartphone le 9 septembre. A l’intérieur, HealthKit, une application santé dont les données pourraient intéresser votre mutuelle."
"Avec iOS 8, Apple se lancera pour la première fois dans la gestion des données de santé. HealthKit pourra ainsi être utilisé par les éditeurs tiers pour constituer un dépôt central permettant l’échange de ces informations. Dans un récent changement des conditions de développement d’applications, la firme interdit cependant la revente de ces données à des tiers. Apple réserve toutefois l'hypothèse d'un partage lié à la recherche médicale."
"Apple a décidé de restreindre l'utilisation que pouvaient faire les développeurs iOS des informations médicales réunies dans son API HealthKit, en interdisant notamment l'exploitation publicitaire."
"Près de vingt après la première commercialisation d’une plante génétiquement modifiée (PGM), le débat sur leur innocuité reste non tranché. Pourtant, la commercialisation de ces PGM dans l’Union européenne (UE) requiert une évaluation de leurs risques sanitaires (cf. Comment sont autorisés les OGM dans l’Union européenne ?). Mais l’évaluation sanitaire des PGM n’est pas satisfaisante et actuellement aucune étude scientifique ne permet de conclure de façon probante à l’innocuité de ces aliments. Le fait que les Étasuniens en mangent depuis presque 30 ans n’est en aucun cas un argument valable pour conclure cette controverse. En effet, l’observation globale d’une population n’est pas une étude épidémiologique (qui nécessite a minima des témoins qui n’auraient pas consommé de PGM…). Seule conclusion possible : cela permet d’affirmer que la consommation actuelle des quelques PGM commercialisées ne tue pas de façon foudroyante…"
"La consommation de fruits, légumes et céréales bio peut fournir un complément en antioxydants équivalant à une consommation supplémentaire de une à deux portions de fruits et légumes par jour. Autrement dit, choisir des aliments produits selon les normes de l’agriculture biologique peut conduire à une consommation accrue d’antioxydants, bénéfiques pour la santé, sans augmentation de l’apport calorique."
"En trois réunions réparties sur un mois, entre juin et juillet 2014, les représentants des États membres de l’Union européenne ont discuté, sans parvenir à une décision, de l’autorisation commerciale pour l’alimentation humaine et animale de huit plantes génétiquement modifiées (PGM) dont le maïs NK603 [1]. La décision finale d’autoriser ou non ces PGM est maintenant entre les mains de la Commission européenne. Une neuvième plante est déjà sur le bureau de la Commission, le coton T304-40, au sujet duquel les États membres avaient déjà discuté le 27 mars 2014."
"Peut-il y avoir la liberté sans respect de la vie privée ? La question prendra rapidement une importance cruciale, avec les capteurs de données médicales qu'Apple intègre dans ses appareils mobiles, pour vendre aux assurances les moyens de surveiller le comportement des assurés.
Assurance santé : plus tu bougeras, moins tu paieras | La santé n’a pas de prix... | Rue89 Les blogs
"Imaginez. Un beau jour, vous recevez un e-mail de votre mutuelle :
« Chère Madame, cher Monsieur,
Nous avons le bonheur de vous compter depuis de nombreuses années parmi nos membres. Nous aimerions récompenser votre fidélité.
C’est avec joie que nous vous proposons ce petit appareil qui enregistrera vos mouvements. Si vous le portez avec assiduité et s’il nous permet de constater que votre niveau d’activité physique est suffisant, nous aurons le plaisir de vous offrir une réduction sur le montant de votre prochaine cotisation. »
Science-fiction ? Cauchemar orwellien ? Presque pas, du moins aux Etats-Unis. De l’autre côté de l’Atlantique, les appareils de « santé connectée » (qui mesurent, entre autres choses, le nombre de vos pas ou celui de vos battements de cœur) sont en train de dépasser le simple cadre de l’utilisation individuelle."
"Comme Apple et son Health Kit en début de mois, Google vient d’annoncer Google Fit Platform lors du Google I/O. Cette plate-forme qui sera compatible avec Android notamment va permettre de centraliser les données des utilisateurs d’objets connectés, notamment ceux en relation avec le sport et la santé. Des partenariats avec Adidas, Nike, Withings, Intel, HTC ou encore Asus sont en cours."
"L'Alliance contre le développement des bactéries multi-résistantes a lancé sa Déclaration pour lutter contre la résistance aux antibiotiques."
"Le retour de l'étude controversée sur les OGM, dans "Environmental Sciences Europe", a suscité de vives réactions."
"Un rebondissement de plus dans l'affaire de l'étude controversée du professeur Gilles-Eric Séralini sur la toxicité de l'herbicide Roundup et du maïs OGM NK603 : celui-ci a annoncé, mardi 24 juin, qu'elle allait être de nouveau publiée. "
"Deux ans après la vive polémique suscitée par son étude sur les OGM, le professeur Gilles-Éric Séralini en publie une seconde version ce 24 juin. Cette nouvelle publication, qui porte sur les effets à long terme du pesticide Roundup et du maïs transgénique NK603, sera diffusée dans la revue Environmental Sciences Europe, du groupe de presse allemand Springer. Cette fois, les chercheurs mettent en ligne les données brutes de l’étude, en accès libre pour l’ensemble de la communauté scientifique. Pour l’équipe de Gilles-Éric Séralini, ce second travail confirme que le pesticide Roundup, produit par la société Monsanto, « provoque à des niveaux environnementaux faibles des déficiences hépato-rénales sévères et des perturbations hormonales comme des tumeurs mammaires »."
"La revue Environmental Sciences Europe du groupe Springer republie l’étude controversée de Gilles-Eric Séralini sur le maïs NK 603 qui avait été retirée par la revue FCT en novembre 2013."
"Le chercheur de l’université de Caen va dévoiler en conférence de presse le nom de la revue scientifique qui republira son étude controversée sur le maïs de Monsanto."
"D'un coté l'association Génération Futures qui défend un amendement de la Loi d'avenir agricole [1] (débattue en ce moment à l'Assemblée nationale), amendement[2] qui vise à interdire la pulvérisation d'insecticides à moins de 200 mètres des zones d'habitation. D'un autre la FNSEA (Fédération nationale de syndicats d'exploitants agricoles) qui invite ses militants à s'opposer à toujours plus de réglementations, en même temps qu'elle invite les Français à consommer les produits locaux. "
"Afin de lutter contre l'antibiorésistance, l'Agence nationale de sécurité sanitaire recommande d'abandonner l'usage préventif des antibiotiques dans les élevages."