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"Véritable poison insidieux pour notre santé, l’aluminium est partout dans notre environnement quotidien. L’alimentation est l’une des voies d’exposition les plus simples et les plus récurrentes. Les personnes souffrant de maladies du tube digestifs sont directement concernées par ce problème. Comment y remédier ?"
"Vous reprendriez bien un peu de Chocapic entre deux dessins animés ? Cinq ans après la signature d'une charte "de bonne conduite" qui avait stoppé net un projet de loi censé interdire les publicités de produits gras pendant les émissions pour enfants, Kellog's, Nestlé et leurs amis de l'agroalimentaire continuent à squatter les écrans pub des émissions pour la jeunesse. Un constat accablant dressé par France 5 dans un documentaire intitulé "Céréales, pas de bol pour le petit-déj". Et en 2015, le lobbying des industriels est toujours aussi efficace : le code-couleur sur les paquets de céréales, censé indiquer les produits trop gras et trop sucrés, ne sera que facultatif. Une victoire de Kellog's avec le soutien du ministre de l'agriculture et de l'alimentation, Stéphane Le Foll."
"Cela commence par des programmes vous incitant à davantage marcher que votre patron ou vos collègues de travail. Pour votre santé. Puis, certains passent aux capteurs qui mesurent avec qui vous parlez. En France, la Cnil s'inquiète du risque d'émergence de nouvelles formes de discrimination."
"Les tétines, couches, tapis de sol ou bodys sont-ils aussi inoffensifs qu’ils n’y paraissent ? En testant en laboratoire 68 produits pour bébés, l’UFC Que Choisir révèle dans un communiqué que plus d’un sur six contient des perturbateurs endocriniens. Ces molécules chimiques, telles que les phtalates ou le bisphénol A, perturbent le système hormonal et peuvent avoir des effets très nocifs sur l’organisme, même à faible dose : malformations des organes sexuels, puberté précoce, diabète, cancers...
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« Une interdiction pure et simple devrait être la règle pour tous les perturbateurs endocriniens », affirme l’association qui demande aux législateurs français et européens d’adopter sans délai une réglementation bien plus ambitieuse, en particulier pour les produits destinés aux enfants.
Les récent signaux envoyés par l’Europe sont assez mauvais en la matière."
"La bataille autour du sofosbuvir, médicament révolutionnaire contre l’hépatite C, se poursuit. Mardi 10 février, l’organisation médicale humanitaire Médecins du monde (MDM) a attaqué le brevet de ce traitement, commercialisé depuis 2013 sous le nom de Sovaldi, auprès de l’Office européen des brevets. Tout en reconnaissant une avancée thérapeutique majeure, MDM conteste que cette molécule du laboratoire américain Gilead Sciences soit suffisamment innovante pour être couverte par un brevet. Surtout, elle juge son prix « exorbitant » et dénonce l’absence de génériques."
"Google prépare une mise à jour de son moteur de recherche afin de fournir des réponses précises vérifiées aux questions médicales que peuvent se poser les internautes. L'entreprise a fait vérifier les informations, mais prévient que ce service n'est qu'une encyclopédie : il ne donne pas de conseils médicaux et ne remplace pas une consultation auprès d'un professionnel de la santé."
"Encore inconnue du grand public, la start-up Rally Health dirigée par un ancien cadre de Twenga a déjà recruté plus de 200 employés. Son but : fournir aux assurances des applications et des données permettant de motiver les assurés pour qu'ils entretiennent leur santé, sous la surveillance des objets connectés."
"Attendue depuis deux ans, la loi encadrant l'exposition du public aux ondes électromagnétiques générées par les technologies sans fil (antennes-relais, téléphones mobiles, tablettes...) a été adoptée par les députés, jeudi 29 janvier en fin de matinée, à la faveur d'une niche parlementaire du groupe écologiste. Elle a été votée par l'ensemble de la majorité, tandis que l'UDI s'est abstenue – à l'exception de Bertrand Pancher (Meuse) qui s'est prononcé pour – et que l'UMP a voté contre, y voyant une entrave au développement des industries du numérique."
"L'Autorité européenne pour la sécurité des aliments vient de trancher : l'exposition actuelle des consommateurs au bisphénol A est sans risque pour leur santé."
"Avec l'interdiction étendue du bisphénol A aux récipients alimentaires, on pensait être débarrassé de ses risques sur la santé. Que nenni ! Le bisphénol F et le bisphénol S, substituts du bisphénol A dans certaines applications, ont le même effet négatif sur le testicule fœtal humain que celui du bisphénol A. C'est ce que viennent de démontrer des chercheurs de l'Unité mixte de recherche 967 « Cellules souches, Radiations et instabilité génétique » (CEA/Inserm/université Paris Diderot)[1] avec la même méthode in vitro qui avait permis à l'équipe d'analyser, en 2012, l'effet négatif du bisphénol A sur le testicule[2]."
"Remplacer le bisphénol A (BPA), mais par quoi ? L’affaire pourrait vite tourner au casse-tête toxicologique et industriel. Alors que depuis le 1er janvier le BPA n’est plus autorisé dans les contenants alimentaires en France, de nombreuses questions demeurent ouvertes sur les risques présentés par ses substituts. Et, en particulier, par les bisphénols versions « S » (BPS) et « F » (BPF). Des travaux français publiés dans la dernière édition de la revue Fertility & Sterility montrent que ces deux produits qui ont été, ou sont encore, utilisés en remplacement du BPA présentent les mêmes effets négatifs sur le développement de l’appareil génital masculin."
"Ce titre volontairement provocateur évoque une problématique qui revient régulièrement au sujet des vignobles bio : peut-on éviter totalement les pesticides ? Bio ne suppose-t-il pas justement « sans pesticide » ? Qu’en est-il réellement ?"
"Le Parlement français a définitivement voté, jeudi 13 décembre 2012, une proposition de loi interdisant le bisphénol A dans les contenants alimentaires, dès 2013 pour ceux destinés aux bébés et début 2015 pour les autres."
Bisphénol A : les substituts seraient tout aussi dangereux (et non réglementés) - Sciences et Avenir
"Nouveau rebondissement dans "l'affaire" du bisphénol A : les deux substituts - non réglementés - auraient la même dangerosité. Tout au moins sur les hormones mâles."
"De très faibles niveaux de bisphénol A (BPA), une substance chimique controversée encore très utilisée dans les plastiques et des conteneurs alimentaires, provoquent de l'hyperactivité chez des poissons exposés au stade embryonnaire, selon une recherche canadienne. "J'ai été vraiment surprise car les doses étaient très faibles et je ne pensais pas qu'il pourrait y avoir des effets, explique Deborah Kurrasch, chercheuse de l'Université de Calgary (Province d'Alberta) et principale auteure de ces travaux parus dans les Comptes-rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS)."
"Avec les objets connectés que l'on porte sur soi et qui mesurent notamment le rythme cardiaque en temps réel, les fabricants et fournisseurs de services comme Apple, Google, Microsoft ou Facebook pourraient deviner lorsque l'utilisateur a un rapport sexuel, savoir à quelle fréquence et combien de temps."
"Cette année encore, les toasts garnis de jolis œufs de poisson s'inviteront sans aucun doute sur les tables de fêtes. Si vous les achetez vous-même, préférez les œufs de saumon ou de truite. Les autres variantes débordent parfois d'additifs."
"Malgré le plan Ecophyto lancé en 2008 pour réduire l'usage de la chimie dans l'agriculture, l'utilisation des pesticides a augmenté dans l'hexagone."
" Trente à quarante mille citoyens allemands seraient victimes tous les ans d'infections mortelles dues à des bactéries résistantes aux antibiotiques. Les élevages industriels concentrationnaires sont montrés du doigt. "
"De plus en plus de questions se posent au sujet des perturbateurs endocriniens, ces substances chimiques qui, à doses parfois minuscules, bousculent notre équilibre hormonal. Le plus connu d'entre eux, le bisphénol A, va ainsi être interdit dans tous les contenants alimentaires à compter du 1er janvier 2015. Epidémiologiste de l'environnement à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et directeur du conseil scientifique du Programme national de recherche sur les perturbateurs endocriniens (PNRPE), Rémy Slama répond, dans cette vidéo d'Universcience, aux principales interrogations qu'ont suscitées ces molécules qui ont remis en question certains principes de la toxicologie."