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De plus en plus, Internet et le secteur du digital sont pointés du doigt pour leur impact environnemental. Au point que certains affirment aujourd’hui qu’un individu « connecté » serait le pire des pollueurs. Voici pourquoi cette idée est fausse.
Écolo, le « sport utility vehicle » de demain ? Bien sûr, puisque sa taille permet d’embarquer de grosses batteries. Eh bien non, pas sûr du tout.
Si les émissions de gaz du parc automobile stagnent au lieu de diminuer, c’est en bonne partie la faute au « sport utility vehicle ».
Si, dans la rue, vous entendez un scooter approcher, vous pouvez vous boucher les oreilles. Mais n’oubliez pas également de respirer par avance un grand coup, et d’expirer le temps que l’engin s’éloigne. Cela ne suffira pas, mais en attendant que les pouvoirs publics prennent des mesures efficaces pour limiter le nombre et la pollution des deux-roues motorisés, cette précaution, certes artisanale, sera bénéfique pour votre espérance de vie.
Quels sont les moyens de transport les plus propres ? Sur deux types de trajets, on voit que la voiture n’est vraiment pas la meilleure solution.
Plus de 300 millions de tonnes de CO2 ont été produites par la consommation de vidéos en ligne en 2018, selon un récent rapport de The Shift Project. À qui la faute et comment limiter cet impact ?
Alors qu’une nouvelle étude confirme le caractère polluant des SUV, les députés ont rejeté l’idée d'un malus sur le poids de ces voitures.
À rebours de l’histoire, le lourd et polluant « sport utility vehicle » domine le marché actuel. Dernier sursaut avant la fin d’un monde.
Une nouvelle estimation de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique contredit celle de la compagnie de forage, multipliant par mille le pétrole répandu quotidiennement.
Les précipitations record dans le Midwest des États-Unis ont provoqué le ruissellement de plusieurs tonnes d'engrais et d'eaux usées vers l'océan, donnant naissance à une vaste étendue d'eau polluée responsable d'une hécatombe dans les écosystèmes marins.
Interdiction de prendre des vols intérieurs s’ils peuvent être remplacés par le train, taxation du kérozène, loi mobilité en cours d’examen... La pression se resserre autour de l’avion. A juste titre ?
L’ONG Aghir In'man se bat depuis 2002 pour faire connaitre l'impact des activités d'extraction de l'uranium au Niger. Son fondateur et président, Almoustapha Alhacen, reçoit cette semaine un prix international pour son action.
Les touristes occidentaux qui arpentent les routes du Sud-Est asiatique sont toujours choqués par l’omniprésence de déchets plastiques dans l’environnement de la péninsule et de l’archipel. Le plastique abonde dans la vie quotidienne, qu’il s’agisse d’usage unique ou d’objets. Dans les supermarchés et les épiceries, les contenants en verre ou en carton sont plus rares qu’en Europe et les doses individuelles plus répandues. Dans les marchés, les emballages en feuilles de bananier ont laissé place au plastique et parmi les stands, il en est souvent un qui vend aux commerçants les sacs en plastique et boîtes en polystyrène dont ils font un usage abondant. Le traitement des déchets pose problème : les infrastructures sont mauvaises ou inexistantes et dans les zones rurales les déchets ne sont pas collectés, chaque famille brûlant dans son jardin ses emballages de snacks, sacs ou bouteilles en plastique. À ces difficultés s’ajoutent désormais celles que connaît la région depuis qu’elle suscite les convoitises des acteurs du marché mondial du recyclage des déchets. Car le problème des déchets domestiques est aggravé par l’importation de ceux des pays riches, des États-Unis au Japon, en passant par l’Europe.
Peut-on se passer de la voiture ? Telle est la question que se pose lundi Le Monde pour la première journée de la semaine spéciale #UrgenceClimat. Les Décodeurs se plongent dans leurs archives pour exhumer les six chiffres à connaître pour aborder le débat sur la pollution automobile.
Un texte inédit a été signé mercredi pour lutter contre la pollution liée à l’utilisation massive de ce matériau dans l’UE.
De nombreux chiffres circulent sur les émissions générées par le fret maritime par rapport aux voitures. Qu’en est-il exactement ? De quelle pollution parle-t-on ?
L’une des pires marées noires aux Etats-Unis, due à un glissement de terrain sous-marin, se répand depuis 2004 dans le golfe du Mexique.
Le constructeur automobile allemand a été condamné par le tribunal de Stuttgart dans le cadre du scandale des moteurs diesel truqués.
Les professionnels de l’automobile, réunis au Mondial de l’automobile de Paris (jusqu’au 14 octobre), mettent en avant leurs efforts en faveur de l’électrique et d’autres innovations technologiques en vue de produire des véhicules plus propres. Les Français, eux, ont un faible pour les véhicules tout-terrain, pourtant polluants et voraces en énergie.
Le marché de la voiture électrique est en pleine croissance. Elle est présentée comme la solution miracle : à la fois vertueuse contre le réchauffement climatique et alternative indolore pour notre confort, nous permettant d’entrer en transition sans rien changer de nos habitudes de vie et d’une mobilité construite autour de la voiture individuelle. Malheureusement, la voiture électrique n’est pas si propre. Si l’on veut encore espérer limiter le réchauffement climatique à un niveau soutenable, l’effort à soutenir passera nécessairement par l’adoption collective d’autres modes de transports.
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« La transition vers des mobilités décarbonées est incompatible avec l’essor des flux de déplacement, fussent-ils plus verts », fustige l’association. Nous ferions ainsi face à un biais propre au solutionnisme technologique : le fantasme d’un progrès technologique qui nous dispenserait de toute évolution de nos modes de vie et nous permettrait de conserver notamment ce totem qu’est la voiture individuelle. À l’opposé, le Forum vies mobiles appelle à « transformer les pratiques de mobilité et les représentations collectives qui y sont associées ».