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Devant l'industrie lourde de l'acier ou du ciment, les poids lourds et l'aviation.
Selon une étude de Greenpeace, l'industrie automobile a émis près d'un dixième des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2018.
Carton rouge. En Europe, au cours des dix dernières années, la part de marché des SUV a été multipliée par quatre passant en 32% en 2018. L'organisation écologiste Greenpeace évoque une catastrophe et tire la sonnette d'alarme. Dans un récent rapport, elle estime que ces véhicules font grimper les émissions de gaz à effet de serre, car ils sont plus lourds et plus gros que la moyenne. En effet, ils pèsent entre 1,5 tonne et plus de 2 tonnes de plus qu'une berline classique.
Dans un rapport dévoilé mardi, Greenpeace affirme que les gros véhicules 4x4 "tirent les émissions de gaz à effet de serre vers le haut". Parmi les plus gros pollueurs, Volkswagen qui arrive en tête, devant Renault-Nissan, Toyota et General Motors.
Une conférence sur la biosphère marine réunit à Brest 600 chercheurs du monde entier. Leurs travaux montrent des mers gravement affectées par la crise écologique.
Il est, après le CO2, le principal gaz à effet de serre. C’est le méthane. Sa concentration croit très rapidement dans l’atmosphère, indiquent les dernières observations, ce qui inquiète vivement les climatologues.
A la veille de l'Assemblée générale de Total, Notre Affaire à Tous, 350.org et les Amis de la Terre France publient, avec le soutien de Sherpa, des (...)
Objectifs indigents de réduction de ses émissions de CO2, investissements massifs dans les hydrocarbures, double discours sur la réalité de ses engagements climatiques : Total sort étrillé du rapport d’ONG publié à l’occasion de l’assemblée de ses actionnaires ce mercredi 29 mai.
La militante inuite analyse les bouleversements engendrés par le changement climatique dans l’Arctique, où le mode de vie indigène est menacé de disparition. Elle est l’une des invités du week-end de débats organisé par le festival We Love Green & « Le Monde », les 1er et 2 juin, au bois de Vincennes.
La militante inuite analyse les bouleversements engendrés par le changement climatique dans l’Arctique, où le mode de vie indigène est menacé de disparition. Elle est l’une des invités du week-end de débats organisé par le festival We Love Green & « Le Monde », les 1er et 2 juin, au bois de Vincennes.
Dans le cas d’un réchauffement de 5 °C, l’hypothèse la plus vraisemblable des chercheurs estime à 51 cm la montée des océans liée à la fonte du Groenland et de l’Antarctique.
Aux Etats-Unis, l'usage des véhicules partagés est bien en-dessous du seuil de rentabilité pour leurs opérateurs.
Le Programme des Nations Unies pour l’Environnement a publié le mardi 7 mai 2019 un rapport alarmant sur les conséquences environnementales de l'extraction de sable.
En février 2019, une étude estampillée Oxford fait quatre fois le tour d’Internet : alors que tout le monde commençait à admettre l’impact écologique de l’élevage, on découvre que la viande cultivée en laboratoire pourrait être encore plus polluante à long terme. Un bad buzz qui ne devrait pas pour autant condamner une technique considérée comme la seule alternative crédible à l’élevage.
Si le transport aérien ne représente que 1,5 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, ce chiffre sous-estime l’impact réel que peut avoir l’avion sur le réchauffement climatique.
L’ONG Aghir In'man se bat depuis 2002 pour faire connaitre l'impact des activités d'extraction de l'uranium au Niger. Son fondateur et président, Almoustapha Alhacen, reçoit cette semaine un prix international pour son action.
Les États membres de l’IPBES, le « Giec de la biodiversité », ont adopté un rapport inédit qui alerte sur l’effondrement du vivant. L’agriculture industrielle et la consommation de viande sont les causes majeures de ce déclin. Un changement de modèle agricole et une reconnaissance des peuples autochtones pourraient permettre d’éviter l’extinction.
Un million d'espèces menacées d'extinction, des trajectoires économiques et politiques qui ne permettront ni d'atteindre les objectifs fixés pour 2020, ni les prochaines échéances... Voici quelques-unes des conclusions très inquiétantes du rapport sur la biodiversité publié par l'IPBES lundi 6 mai.
« La nature décline globalement à un rythme sans précédent dans l'histoire humaine - et le taux d’extinction des espèces s’accélère, provoquant dès à présent des effets graves sur les populations humaines du monde entier », alerte le nouveau et historique rapport de la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), dont le résumé a été approuvé lors de la 7ème session plénière de l'IPBES, qui s’est réunie la semaine dernière (du 29 Avril au 4 mai) à Paris.
Outre la menace d'une extinction massive, ce document présenté comme "le plus exhaustif réalisé à ce jour" insiste aussi sur les solutions pour inverser la tendance.