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À qui a vraiment profité « l’argent magique » dépensé pendant la crise sanitaire par le gouvernement ? Éléments de réponse avec l’économiste Maxime Combes et le journaliste Olivier Petitjean, co-auteurs du livre Un pognon de dingue mais pour qui ? (éditions Seuil/Don Quichotte).
Nonobstant la volatilité du marché due à la pandémie de coronavirus et son impact sur les chaînes d'approvisionnement ainsi que les chocs du côté de la demande, IDC prévoit que le marché mondial des appareils domestiques intelligents connaîtra une croissance régulière au cours des cinq prochaines années, car les utilisateurs de maisons intelligentes étendent leurs écosystèmes domestiques intelligents et recherchent des expériences connectées plus sophistiquées.
Alors que la crise sanitaire a accéléré l’avènement du vélo en France, un rapport parlementaire remis mardi 8 février au gouvernement enjoint justement à soutenir la filière et à relocaliser son industrie dans l’Hexagone. À la clé, la création de 100 000 emplois d’ici 2050.
Pour 2021 et 2022, l'éolien ou le solaire notamment, pourraient permettre d'économiser plus de 14 milliards d'euros aux finances nationales.
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Les renouvelables "ne coûtent pas, elles rapportent," dit Michel Gioria, délégué général de France Energie éolienne (FEE), qui fustige les positions "à l'emporte-pièce" de certains politiques accusant l'éolien d'être "cher et inutile". Ces 14 milliards incluent 3,3 milliards que les producteurs de solaire et d'éolien restitueront à l'État pour trop-perçu pour 2021, et les 5,1 milliards prévus pour 2022 que l'État n'aura pas besoin de débourser. S'y ajoutent 6 milliards nets que verseront les exploitants d'énergies renouvelables électriques, dont 3,7 fournis par l'éolien seul. Pourquoi? En France, les énergies renouvelables (ENR) sont soutenues par un système de complément de rémunération entre le prix de marché et un prix "cible" fixé lors de l'attribution de chaque projet.
Depuis le fiasco du débat de 2017, elle a passé un vernis de sérieux sur son programme… qui cache pourtant mal sa xénophobie et ses calculs bancals.
Depuis le rapport du GIEC en août 2021, les voix défendant une possible croissance verte ou un découplage se font de plus en plus rares. Le mot croissance verte n’est d’ailleurs plus vraiment utilisé par les politiques, même si certain(e)s se risquent encore à parler de croissance responsable, d’écologie de production, etc.
"À ce stade aucun effet n'est identifié sur l'investissement, ni après 2013 (réforme de l'imposition des dividendes), ni après la réforme de 2018", a annoncé Cédric Audenis, commissaire général adjoint à France Stratégie, qui pilotait cette évaluation.
Les riches, qui continuent de s’enrichir, polluent d’autant plus que leur patrimoine financier est important, et les politiques du gouvernement français les favorisent au détriment du reste de la population. Tel est le constat limpide énoncé par l’économiste Lucas Chancel qui défend un fort investissement public financé par l’impôt progressif pour renverser cette tendance et soutenir la transition écologique.
Aurelien Barrau au Global Economic Forum 2019 s'adresse à pure jus du système médiatique et financier et leur explique 5 minutes en quoi tout ceci est une "bouffonnerie"
La plupart des candidats à l’élection présidentielle prétendent concilier la poursuite de la croissance et la préservation de l’environnement. Une récente note de l’Agence européenne pour l’environnement souligne l’incompatibilité de ces deux projets, relève dans sa chronique Stéphane Foucart, journaliste au « Monde ».
Pour la première fois au congrès mondial de la nature, un CEO Summit, réunissant les PDG de grands groupes, a été organisé. Au-delà du réchauffement climatique, le déclin de la biodiversité est considéré comme une menace sur les entreprises dont le modèle économique repose sur des écosystèmes naturels en bonne santé comme L'Oréal pour la cosmétique ou LVMH pour le luxe. Toute la semaine, Novethic vous fait suivre le sommet de l’UICN.
L’accord européen négocié après plus de deux décennies d’atermoiements n’inversera sans doute pas le déclin des pollinisateurs, et partant, de la biodiversité qui en découle, relève Stéphane Foucart, journaliste au « Monde » dans sa chronique.
Ovni planté en pleine garrigue à vol de drone de la gare TGV d’Aix-en-Provence, The Camp devait être le fer de lance de la French tech. Sous le parrainage de bonnes fées du CAC 40, de l’État, de la macronie et des élus locaux, il s’agissait d’inventer le futur, rien de moins. Sous coma artificiel, l’activité du campus a été prolongée sous pression des collectivités, affolées à l’idée de perdre les millions investis. Histoire d’un gouffre, dont les contribuables sont les premières victimes.
Voyage au coeur d'un débat qui ne manquera pas d'animer la prochaine présidentielle
Ces dernières années, les groupes chinois multiplient les acquisitions sur le continent, et la tendance devrait s'accélérer avec le traité d'investissement conclu entre Pékin et l'Union européenne. Alors que les relations diplomatiques se tendent, ces prises de contrôle ou de participation soulèvent des questions de propriété intellectuelle et de sécurité nationale.
Patronat et syndicats sont vent debout. A la veille d’un tsunami de défaillances d’entreprises, le gouvernement prévoit une réforme qui met en danger l’équilibre financier de l’association patronale chargée de verser les sommes dues aux salariés en cas de faillite de l’entreprise.
55% du PIB mondial dépend d'une biodiversité et de services écosystémiques performants
Tandis que la France connaît à nouveau d’inquiétants records de température (entre autres désordres écologiques), les moyens de l’État ne devraient-ils pas se concentrer sur les enjeux climatiques ? Tel est en tout cas le point de vue de Jean-Marc Jancovici qui, sur le réseau social Linkedin, a répondu de façon ferme et originale à un post d’Emmanuel Macron.
9 100 milliards de dollars, c’est la valeur boursière de la tech américaine selon Bank of America. Et c’est plus que l’ensemble du marché européen.
Les plans de soutien ou de relance seront verts, assurent les responsables politiques et européens. Pourquoi n’assument-ils pas clairement que des activités doivent disparaître ? s’interroge Florence Jany-Catrice, économiste qui plaide pour des plans de reconversion, plutôt que de relance.