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Les ONG Greenpeace Italie et ReCommon ainsi que douze citoyens accusent le groupe de mener des politiques « en violation flagrante de l’accord de Paris » et veulent qu’il soit contraint de réduire ses émissions de gaz à effet de serre.
Au prétexte de la défense des produits italiens, le gouvernement de Giorgia Meloni et l’extrême droite italienne ont bloqué au niveau européen le processus de choix de l’étiquetage nutritionnel à cinq couleurs permettant de guider les consommateurs vers des achats plus sains.
La première ministre a lancé en novembre une réforme de la loi fondamentale prévoyant l’élection directe du chef du gouvernement. Revanche historique de l’extrême droite italienne, le projet ne fait pourtant pas l’unanimité dans son camp.
Selon nos informations, des eurodéputés ont copié-collé des amendements rédigés par des secteurs de l’industrie de la péninsule. La présidente du Parlement européen Roberta Metsola a par ailleurs lancé une enquête interne sur l’intensité du lobbying sur ce règlement.
Le gouvernement d’extrême droite a décidé de supprimer une aide bénéficiant à des millions de personnes pauvres pour la remplacer par un chèque au périmètre plus limité. L’opposition et les syndicats dénoncent une «provocation».
Le parti de Giorgia Meloni a largement dominé les élections italiennes du 25 septembre. La coalition de droite devrait obtenir une majorité absolue au Parlement. Le résultat de décennies de confusionnisme et de banalisation du fascisme dans lesquels se sont fourvoyés tous les mouvements politiques de la péninsule.
Si la plupart des États européens ont étendu le rôle du passe sanitaire, la France est l’un des plus radicaux en la matière. Tour d’horizon en Allemagne, en Espagne et en Italie.
Au sein de l’Europe, où la 5G est vendue comme une nouvelle révolution, l’Italie a pris une longueur d’avance. Plusieurs régions, comme L’Aquila dans les Abruzzes, y servent de terrain d’expérimentation pour cette nouvelle technologie. Mais alors qu’État et industriels applaudissent, des poches de résistances s’organisent pour exiger l’application du principe de précaution. Y compris sur le terrain judiciaire, où fabricants, opérateurs et État sont dans le collimateur d’avocats. Un nouveau volet de l’enquête menée par le collectif de journalistes Investigate Europe.
Les deux géants du smartphone viennent de se voir condamnés à verser plusieurs millions d'euros suite à une enquête de l'autorité de la concurrence italienne. En cause, leurs pratiques en matière d'obsolescence programmée.
Le vice-Premier ministre italien veut imposer un couvre-feu aux supérettes tenues par des étrangers…
"Un groupe de parlementaires italiens a déposé une proposition de loi sur la très mal nommée « économie du partage », qui vise à taxer à hauteur de 10 % tous les revenus générés par les particulier sur les plateformes d'économie collaborative."
"Une autre administration de premier plan fait un pas vers le logiciel libre : le ministère de la Défense italien. Ainsi, ce sont 150.000 postes équipés de Microsoft Office qui basculeront sur LibreOffice. En France, c'est "Open Bar" Microsoft."
"Le 16 septembre 2015, le ministère de la défense italien a annoncé la migration des 150 000 ordinateurs de bureau de l'ensemble de son ministère vers la suite LibreOffice, suite à un accord signé avec l'association LibreItalia qui se propose aussi d'organiser des actions de formation en direction des personnels. L'April se réjouit de cette adoption, en cohérence avec la décision de 2012 de l'Italie de donner la priorité au logiciel libre. Elle démontre également que le tout Microsoft, défendu par le ministère de la Défense français dans le cadre du contrat Open Bar, n'est pas une fatalité. "
"Négocié dans l’opacité, le projet d’accord commercial entre l’Union Européenne et les États-Unis inquiète. Pour mieux comprendre les enjeux, Basta ! ouvre ses colonnes aux représentants de la société civile. Après l’Allemagne, les États-Unis, la France et les Pays-Bas, voici une tribune venue d’Italie, où la mobilisation prend de l’ampleur alors que l’Italie prend la présidence de l’Union européenne. « Avalanche de produits bon marché mais de piètre qualité », « réduction massive des droits sociaux »... Autant de risques dénoncés par Monica Di Sisto et Alberto Zoratti, de l’ONG Fairwatch."
"Alors qu'elle doit prendre les rênes de l'Union Européenne dans moins d'un mois, l'Italie de Matteo Renzi serait décidée à soutenir le rapport adopté par le Parlement européen le mois dernier, qui impose un respect strict de la neutralité du net. Mais rien n'est gagné."
"Hier, l'April, la fameuse association de promotion et de défense du logiciel libre, s'est félicitée de voir l'administration italienne imposer en priorité le libre et d'utiliser des logiciels propriétaires qu'en cas d'ultime recours. Une situation légèrement différente de celle de la France."
"Modifier le code des marchés publics pour faire du logiciel libre la priorité, c’est possible, mais en Italie où le choix du logiciel libre est désormais la règle pour l'administration publique se félicite l’April."
"L'Italie a tranché : désormais la règle pour toute son administration est le choix du logiciel libre (c'est à dire dont l'utilisation, la modification et la diffusion sont permises grâce à la diffusion du code source du programme) tandis que les logiciels propriétaires deviennent l'exception. La circulaire, publiée la semaine dernière, vient préciser la modification du code des marchés publics voté en août 2012, note l'April (Association pour la Promotion et la Recherche en Informatique Libre) qui cite l'Italie comme exemple à suivre."
"Le 8 mai 2013, la Cour de Justice de l’Union Européenne a rendu une ordonnance portant sur le droit des États membres à soumettre la culture d’un OGM à une autorisation nationale préalable, alors même que ce dernier a été autorisé légalement au niveau européen. C’est la deuxième fois que la Cour est appelée à se prononcer sur cette question, et c’est encore la loi italienne sur les OGM qui est en cause."
"En Italie, une dizaine d'organisations d'internautes et de professionnels du web se mobilisent pour faire échec à un projet du régulateur des télécoms, qui souhaite disposer du pouvoir d'ordonner le blocage de sites web sans que leur illégalité soit confirmée par un tribunal indépendant."