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Dévoilé aujourd'hui à Monaco, le rapport des experts climat du Giec détaille le sinistre état de santé des océans et des zones glacées de la planète. Fonte des calottes glacières, hausse de la température de la mer, acidification, perte d'oxygène et montée des eaux... autant de conséquences pour les écosystèmes et l'Homme.
Ce mardi 10 septembre 2019, la marque Apple présentera son nouvel iPhone, une semaine après la sortie du nouveau Samsung. Chaque année, des milliards de nouveaux smartphones toujours plus performants sont proposés par les fabricants. Mais, derrière l’attrait pour une haute technologie aseptisée se cachent de lourdes pollutions et des conséquences sociales dramatiques.
Réalisé par sept ONG européennes* le rapport « Green Deal européen : Une occasion de changer la donne » salue la volonté d’Ursula von der Leyen de lancer un Green Deal européen et appelle la nouvelle présidente de la Commission européenne à l’accompagner d’un cadre de financement à la hauteur des enjeux. En effet, un Green Deal réellement capable de changer la donne est plausible à court et moyen terme, mais seulement si la Commission parvient à réformer les conditions de financement tant privé que public.
L'océanographe et physicienne Sabrina Speich affirme que "vers 2050, on aura une disparition presque complète de toutes les espèces coralliennes dans les régions tropicales".
Les prévisions de production de pétrole et de gaz en 2040 dans les principaux pays sont incompatibles avec les objectifs de limitation du réchauffement climatique de 2 °C.
Si le transport maritime vers et depuis l’Europe était un pays, il serait le huitième plus gros émetteur de gaz à effet de serre, derrière les Pays-Bas, selon une étude de l’ONG Transport & Environnement que nous révélons.
L’Assemblée n’est pas allée jusqu’à interdire les promotions de cette manifestation commerciale importée des Etats-Unis, comme le réclamaient certains députés.
En matière de bouleversements climatiques, il ne serait peut-être plus minuit moins une, mais bien minuit. Plusieurs « points de bascule » sont déjà atteints, affirme un groupe de scientifiques réputés, qui met en garde contre les « changements irréversibles » qui sont à prévoir au cours des prochaines années à l’échelle de la planète. Un constat qui survient alors que l’humanité manque toujours d’ambition en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
C’est le cri d’alarme lancé par des scientifiques dans la revue Nature, vingt ans après l’identification par le Giec de « points de basculement », à l’instar de la perte de la forêt amazonienne, ou de la fonte du permafrost qui pourrait libérer du méthane, un gaz à effet de serre 30 fois plus « puissant » que le CO2. Ils appellent à une action internationale immédiate.
L’élue new-yorkaise a fait dire, face caméra, à deux scientifiques, qu’ils avaient prédit et démontré l’évolution du climat dès 1982, alors qu’ils travaillaient pour la firme pétrolière Exxon.
Une nouvelle étude tire la sonnette d'alarme : en l'absence de réduction drastique des émissions de CO2, jusqu'à 75 % des habitants de la planète pourraient être victimes de vagues de chaleur meurtrières à l'horizon 2100.
Les émissions de gaz à effet de serre divergent des engagements pris dans l’Accord de Paris : c’est l’alarme tirée par le rapport ’Emission Gap Report’ de l’ONU, publié ce mardi 26 novembre. Les scientifiques préconisent un infléchissement « radical » et « immédiat » de cette tendance pour éviter un réchauffement insupportable.
Le changement climatique accélère son tempo. Sous les coups de boutoirs d’un effet de serre lui aussi en phase d’accélération. Démonstration en quelques graphiques.
La réserve de Svalbard, en Norvège, censée protéger les semences mondiales de toutes les catastrophes, est elle-même menacée par le réchauffement climatique.
De plus en plus, Internet et le secteur du digital sont pointés du doigt pour leur impact environnemental. Au point que certains affirment aujourd’hui qu’un individu « connecté » serait le pire des pollueurs. Voici pourquoi cette idée est fausse.
D’après une étude, 300 millions de personnes pourraient affronter des inondations une fois par an d’ici à 2050, particulièrement en Asie.
D'ici 2050, des zones côtières abritant 300 millions de personnes seront menacées par la montée des océans liée au changement climatique.
Chaque année, entre 16 000 et 61 000 hectares sont soustraits à la nature en métropole, principalement du fait des maisons individuelles et des routes.
Si le monde continue à privilégier une croissance économique rapide alimentée par des énergies fossiles, l’augmentation de la température moyenne globale atteindrait 6,5 à 7°C en 2100 par rapport à l’ère préindustrielle, soit 1°C de plus que dans les précédentes estimations, prévoient deux modèles climatiques français dévoilés mardi.
Au nord de la Norvège, le réchauffement climatique attire de nombreux touristes. Un voyeurisme qui est condamné par Audun Salte, éleveur de chiens de traîneau.