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Ces deux femmes sont à l’origine de la publication des « Monsanto papers », ces milliers de courriels, notes, rapports, qui montrent les manipulations de la firme chimique pour cacher la dangerosité du glyphosate. Reporterre les a rencontrées.
Carey Gillam et Kathryn Forgie sont à la source des « Monsanto Papers », les documents que la firme productrice du Roundup et des principaux OGM a dû publier en mars dernier : des textes qui révèlent les manœuvres de l’entreprise basée à Saint-Louis, aux (...)
La Commission européenne vient de décider de reporter le vote sur le renouvellement de la licence du glyphosate, une molécule présente dans de (...)
Une enquête du "Monde" a montré comment le géant des produits phytosanitaires a contré les études sur la dangerosité du glyphosate, composant de l'herbicide Roundup. Et ce n'est pas la première fois que la firme américaine utilise ce type de méthodes très controversées.
Le secret a longtemps été le principal moyen de garantir le monopole commercial de l'inventeur d'un nouveau produit ou d'un nouveau procédé. La diffusion des connaissances est ensuite devenue le moteur…
Le 15 mai 2017, l’Electronic Frontier Foundation, célèbre ONG œuvrant pour la libertés des droits sur Internet, a publié une tribune inquiétante sur les menaces que font peser sur la culture libre (les licences libres) certains amendements au projet de Directive Européenne sur le Marché Unique Numérique.
Promesse de campagne du président Macron, les États généraux de l’alimentation ont démarré ce jeudi et se poursuivront jusqu’en novembre. Centré sur les questions des modèles de production et de la situation des agriculteurs, leur programme ne place pas l’agriculture biologique au cœur des débats. « Engagée depuis 2013, l’actuelle révision de la réglementation européenne fait craindre la disparition de [ses] principes fondamentaux », alertait Claire Lecœuvre en juin dernier.
La partie risque d'être très dure pour les citoyens et les partisans d'une agriculture qui respecte les paysans, l'environnement et les consommateurs. (...)
En cinq ans, les laboratoires pharmaceutiques ont versé plus de 600 millions d’euros aux professionnels de santé.
Le projet de loi, dont les députés ont achevé mercredi 4 octobre l’examen, prévoit des exceptions à l’arrêt en 2040 de la production française de pétrole et de gaz. Une « sécurisation » pour le ministre, une « renonciation » pour les ONG.
C’est la première loi « climat » du quinquennat Macron : l’Assemblée nationale a terminé mercredi l’examen du texte mettant fin à la recherche et à l’exploitation des hydrocarbures. Mais les pétroliers et le vieux monde institutionnel se battront jusqu’au bout contre les restrictions.
Le 4 octobre 2017 - L'Assemblée nationale vient d'examiner en première lecture le projet de loi Hulot “mettant fin à l'exploration et l'exploitation (...)
Pour contrer le soupçon qui entoure le glyphosate, son produit-phare classé « cancérogène probable », la firme américaine interfère auprès des organismes de réglementation.
La parution de l’étude controversée du biologiste français Gilles-Eric Seralini, prétendant avoir montré des effets nocifs du Roundup, a provoqué une onde de choc chez Monsanto. Qui n’a eu de cesse de faire désavouer la publication par tous les moyens.
Le géant américain de l’agrochimie a, de manière systématique, cherché à influencer la marche de la science et à intervenir dans les décisions des agences réglementaires.
Second volet de notre enquête sur le prix des médicaments, avec l'exemple du Sovaldi. Cet antiviral agissant contre l'hépatite C, présenté comme (...)
Quels sont les médicaments les plus coûteux pour l'assurance maladie ? Basta ! a compilé les données de l'année 2016 et établi un classement des (...)
Depuis 1996, les financements fédéraux de la recherche médicale sur les armes à feu sont interdits aux États-Unis, à cause des pressions du lobby sur le Congrès.
« Le Monde » montre comment la puissante firme américaine a fait paraître des articles coécrits par ses employés et signés par des scientifiques pour contrer les informations dénonçant la toxicité du glyphosate.
La nouvelle norme ISO 16128, censée définir les ingrédients des cosmétiques bio ou naturels, ne ferait qu'embrouiller davantage les consommateurs.
Mi-septembre, on a appris que des pans entiers d’un rapport sur le glyphosate étaient en fait des copier-coller de textes rédigés par des sociétés favorables à l’herbicide. Dans sa chronique, Stéphane Foucart, journaliste au « Monde », analyse les conséquences de cette pratique.