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"Un curry coloré de légumes d’hiver, un velouté potimarron-panais, du quinoa sauté aux petits légumes, un crumble poireaux-noisettes, des pâtes au pesto d’oseille maison, un risotto aux champignons, des falafels sauce tahin.
Voilà, cher Aoste, ce que j’ai pu manger ces derniers jours. Je fais l’impasse sur les entrées et les desserts, je ne voudrais pas trop te mettre l’eau à la bouche."
"Le Parlement français a définitivement voté, jeudi 13 décembre 2012, une proposition de loi interdisant le bisphénol A dans les contenants alimentaires, dès 2013 pour ceux destinés aux bébés et début 2015 pour les autres."
Bisphénol A : les substituts seraient tout aussi dangereux (et non réglementés) - Sciences et Avenir
"Nouveau rebondissement dans "l'affaire" du bisphénol A : les deux substituts - non réglementés - auraient la même dangerosité. Tout au moins sur les hormones mâles."
"A Fribourg, en Allemagne, est née il y a 3 ans une ferme basée sur les principes de l’agriculture solidaire. L’idée est de pérenniser une agriculture respectueuse de l’environnement, mais suffisamment productive pour nourrir de nombreux adhérents. Un peu sur le modèle des AMAP françaises (association pour le maintien de l’agriculture paysanne), la GartenCoop reprend les principes solidaire et communautaire, en allant plus loin."
"Cette année encore, les toasts garnis de jolis œufs de poisson s'inviteront sans aucun doute sur les tables de fêtes. Si vous les achetez vous-même, préférez les œufs de saumon ou de truite. Les autres variantes débordent parfois d'additifs."
"A l'approche des fêtes de fin d'année, les étals des poissonneries proposent davantage de produits alimentaires festifs comme le saumon. Si les Français en sont friands, la majeure partie du saumon qui nous est proposée provient d'élevages dont les conditions laissent les consommateurs dans la perplexité voire la méfiance. Faut-il en avoir peur ? Nous sommes partis enquêter sur place, en Norvège."
"Après avoir été longtemps considérés comme des aliments très bénéfiques pour la santé et indispensables à un bon équilibre alimentaire, les produits laitiers font depuis quelques années l'objet de violentes attaques, souvent très médiatisées, de la part de certains courants de médecine alternative qui y voient, au mieux, une composante inutile de notre alimentation et au pire un « poison » qui serait responsable de tous les maux, des allergies au cancer, en passant par l'angine et la bronchite !"
"Les édulcorants artificiels ont le vent en poupe : censés remplacer avantageusement le sucre, sans en avoir les inconvénients, on les retrouve depuis quelques années dans les yaourts sans sucre et de nombreux plats de régime. On dit qu'ils aident à perdre du poids et à prévenir le diabète, mais ils pourraient en réalité accélérer le développement de l'intolérance au glucose et de maladies métaboliques. Ils font cela d'une manière surprenante, en changeant la composition et le fonctionnement de la flore intestinale, l'importante population de bactéries qui se trouve dans les intestins. Ces découvertes, résultats d'expériences faites sur des souris et sur des humains, ont été publiées dans la revue Nature."
"Le très fort intérêt de certains ados pour la junk food pourrait être notamment lié à Facebook. Une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Sydney, publiée dans l’American Journal of Public Health, montre que les marques proposant de la malbouffe (ici définie comme un ensemble de produits «très caloriques et pauvres en éléments nutritifs») utilisent beaucoup ce réseau social pour leur marketing à destination des adolescents."
"Il n’y a pas que la montée des eaux. Que l’on épouse les thèses du Giec ou qu’on les critique, l’acidification des eaux des océans n’est plus contestée. Le phénomène menace la chaîne alimentaire. Ce qui, au-delà des polémiques, devrait pousser à la réduction des émissions de CO2. Ce qui serait favorable à la lutte contre le réchauffement climatique."
"« Testet, 1 000 vaches, NDDL : argent public, intérêts privés » : posée sur un tracteur garé en face des grilles du palais de justice, la pancarte résume bien la diversité du rassemblement qui s'est tenu à Amiens, tout au long de la journée du 28 octobre. Derrière les grilles, dans l'enceinte du tribunal, neuf militants de la Confédération paysanne comparaissaient pour une action de « déboulonnage » menée le 28 mai contre la ferme dite des « mille vaches ». Ils ont finalement été condamnés à des peines allant d'une simple amende à cinq mois de prison avec sursis. La peine la plus forte a été prononcée contre le porte-parole du syndicat, Laurent Pinatel, condamné à cinq mois de prison avec sursis et 300 euros d'amende."
"Le procès des opposants au projet d’élevage industriel des « 1000 vaches » s’est tenu le 28 octobre à Amiens. Poursuivis pour dégradations, vols et recels aggravés, les neuf prévenus ont été condamnés à des amendes et des peines de prison avec sursis. A l’extérieur du palais de justice, un autre procès s’est tenu simultanément, celui de l’industrialisation de l’agriculture, jugé par un tribunal de citoyens. Deux visions du monde agricole et de l’alimentation de demain, résolument incompatibles, se sont affrontées dans et autour de l’enceinte judiciaire. Basta ! était sur place. Reportage."
"Publiée dans la revue scientifique British Journal of Nutrition [1], en juillet 2014, une étude réalisée par Carlo Leifert, professeur à l’Université de Newcastle (Royaume Uni), relance le débat sur l’intérêt sanitaire de l’agriculture biologique. A intervalle régulier, en effet, des études vantant les mérites de l’agriculture bio ou, au contraire, dénonçant cette pratique comme n’apportant aucun bénéfice notoire aux consommateurs, sont réalisées et engendrent dans la foulée des polémiques passionnées. Carlo Leifert considère que deux revues critiques vis-à-vis de l’agriculture bio, publiées en 2009 dans American Journal of Clinical Nutrition et en 2012 dans Annals of Internal Medicine, ne sont pas concluantes car basées sur un nombre trop faibles d’études. Son travail, explique-t-il, prend en compte les résultats de 343 autres travaux (contre 55 pour l’étude de 2009). Le professeur explique cette différence en soulignant que “la recherche dans ce domaine a mis du temps à prendre son essor et [que] nous avons aujourd’hui beaucoup plus de données à notre disposition qu’il y en avait il y a cinq ans”."
"Autrefois l'apanage des pays riches, la consommation de viande ne cesse de se démocratiser et d'augmenter dans le monde. L'élévation du niveau de vie dans les pays en voie de développement amplifie les effets déjà catastrophiques, mais peu évoqués, d'une surconsommation de viande non soutenable et inutile."
" Après la ferme-usine des 1000 vaches, le projet de ferme-usine des 250 000 poules, à Beauval dans la somme, pose la question du choix de notre agriculture et de notre alimentation. "
"La Norvège tente de lever la suspicion sur son saumon présenté comme "la nourriture la plus toxique au monde" par un reportage du magazine "Envoyé Spécial"."
"Il y a un an, le professeur Mark Post présentait au monde son premier steak de viande in vitro, fabriqué dans un laboratoire de Maastricht, aux Pays-Bas, en cultivant des cellules de muscle de bœuf. En août, l'anniversaire de cet intrigant « Frankensteak » a été célébré par la sortie d'un ambitieux livre de recettes de cuisine consacré à cet aliment de science-fiction. Solution révolutionnaire pour certains, fantasme inutile, voire dangereux pour d'autres, la viande in vitro finira-t-elle bientôt dans nos assiettes ? Tour d'horizon en dix questions."
"Grâce à une fuite, plusieurs groupes écologistes ont pu avoir connaissance des propositions de la Commission européenne sur la sécurité alimentaire, lors des négociations de ce traité commercial. Adrian Bebb, chargé de la campagne Agriculture et Biodiversité des Amis de la Terre Europe explique en quoi ces documents montrent que l’accord EUA-UE sape les fondements mêmes de la politique de sécurité alimentaire européenne."
"Une question en au centre du débat entre les partisans et détracteurs de l’agriculture bio : les aliments bio sont-ils meilleurs pour la santé ? Sont-ils plus riches en antioxydants et moins contaminés par des métaux toxiques et des pesticides ?"
"La production de viande de bœuf induit un coût environnemental bien plus élevé que celle de la volaille, du porc ou de toute autre source de protéines animales. C'est ce que révèle une étude publiée lundi 21 juillet aux Etats-Unis dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS)."